Lapin Bleu et Nouveau Monde (Poussière - Oreius - Spyro)

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Message de Poussière, ange.

Quête de la Montre magique arrêtant le temps

Poussière avait quitté sa petite vallée et était venue ici. Elle devrait trouver Zaïne, sa tombe du moins. Si elle y arrivait.

Elle avait longuement chevauché et était enfin arrivé à la prairie. Elle était fatiguée d'avoir longtemps chevauché et avait fait des détours, se perdant quelque peu, comme à son habitude.

Avec toutes ces couleurs, ces fleurs parfumées ça l'avait revigorée. Un pur bonheur pour l'humaine qui se sentait pousser des ailes. Elle adorait cet endroit. Émerveillée par sa beauté, elle en oublia sa venue ici et déambula parmi les fleurs, les observant toutes, une à une, essayant de s'en rappeler pour pouvoir conter dans un avenir proche ce qu'elle avait ressenti et vu.

La tête penché au dessus des fleurs, elle restait courbée en deux, et avançait, sans lever la tête. C'est ainsi que, sans faire exprès, elle se cogna la tête dans quelque chose.
Elle releva la tête et aperçut un centaure. Elle venait de se cogner contre la cuisse d'une des jambes d'un centaure.
*Mince mais euh.. ça existe ces choses là? J'en parle dans certaines de mes lègendes.. mais.. ce sont des légendes!*

Anna' se releva rapidement en battant des bras, bégayant des choses confuses, et perdit l'équilibre avant de tomber en arrière.

Mais au lieu de tomber sur le sol comme elle s'y attendait elle trouva dans son dos un trou. Une longue chute s'ensuivit et elle vit des choses passer à côté d'elle, en l'évitant tout juste.
Comme était tombée en arrière, elle se retrouvait sur le dos, tandis qu'elle continuait sa chute. Lorsque le sol la recueillerait, ça risquerait de faire mal.. Très mal.

Poussière tenait son bandeau sur l'oeil pour que celui-ci ne s'envole pas et reste en place. Puis, à un instant, elle ne sut pas ce qu'il se passa, mais elle freina soudain, jusqu'à s'immobiliser. Surprise, elle ne comprit pas et sa chute reprit.
Une chute de quelques centimètres seulement. Étonnée, elle se releva et aperçut un lapin bleu portant un veston et une montre. Celui-ci venait de cliquer sur le bouton du centre, se pencha près de la jeune fille et s'adressa à elle:
"Vous z'allez bien?"

Mais avant qu'Annabella réponde, le lapin regarda sa montre pour s'apercevoir de l'heure et poussa un cri avant de dire:
"Je suis en retard, je dois y aller, je suis en retard!"

Perplexe, Poussière le vit sortir par une porte et observa l'endroit où elle se trouvait. Une salle ronde, des portes de toutes tailles tout autour et pas de plafond. C'était juste un énorme trou qui menait ici.
Elle fit la moue en levant les yeux. Il fallait qu'elle sorte.
Mais alors qu'elle voulait se tenter à l'escalade de cet sorte de puits, elle vit une énorme chose arrivé sur elle et lui tombé dessus.

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Message d'Oreius, le centaure.

Oreius sentit quelque chose se cogner a elle.Il avait été envoyé par son chef pour trouver une montre au pouvoir etrange.

Il vit une femme se cogner a lui et bafouiller des escuses, il la suivit jusqu' a un trou ou il atterit, le trou été assez large pour laisser passer un gros centaure comme lui il y fut aspiré dedans .Il vit le lapin appuyer sur le bouton d'une montre a gousset et le centaure se figea comme une statue,arreté par le temps.

Quand le bouton fut reappuyez le centaure reprit sa mobilité habituelle et regarda l'humaine:
-bonjour petit poulain que faites vous la? vous ètes perdu?

Il la regarda avec fierté, se demandant ce qu'elle faisait la.

En meme temps le centaure jeta un regard aux alentours.Etrange souterrain en vérité, une salle ou il y avait des portes rondes.Le centaure été un peu a l'etroit la dedans.

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Message de Poussière, ange.

Poussière vit le centaure arriver près d'elle et pensa qu'elle l'avait échappé de peu. Il aurait pu l'écraser ou encore lui donner un violent coup de sabot.
Rassurée qu'il ne lui soit rien arrivée Annabella pencha la tête vers le Centaure, intimidée. Elle voulut prendre la parole mais n'était pas assez confiante pour parler.
Mais elle reprit rapidement de l'assurance et rougit en disant:
-Bonjour... Euh... pour tout à l'heure, là-haut, vous ne m'en voulez pas trop de vous avoir cogné? Je ne regardais pas devant moi.

Anna' vérifia que son bandeau était en place et répondit à l'homme:
"Perdue? Non, quand j'étais là-haut, je savais où j'étais. Maintenant je l'ignore. Faut trouver une sortie!

Affolée, Poussière tapa à chaque porte et tenta d'ouvrir. Mais aucune des portes ne voulait s'ouvrir et semblait toutes bloquées. Fermées à clés.
Et elle n'arrivait même pas à atteindre la poignée de la plus grande porte. Et elle ne pouvait pas saisir la poignée de la plus petite porte.

Lassée, après avoir essayé une nouvelle fois les portes en s'agitant dans tous les sens, Annabella abandonna et s'assit au sol. Elle observa le centaure et lui dit, d'une voix faible:
-Je crois qu'on est bloqué ici. Même le lapin qui était là a fermé la porte à clé derrière lui.

'Bella soupira en regardant ses pieds. Il fallait qu'elle trouvait une idée pour partir d'ici. Mais elle était désorientée et quelque peu mal à l'aise et n'arrivait pas à réfléchir clairement.
Plus que d'habitude, elle était perdu ici.

Mais elle crut voir un mouvement à sa droite et tourna la tête, pour voir qu'une porte pas plus haute d'un mètre venait de s'ouvrir...

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Message d'Oreius, le centaure.

Oreius regarda la jeune femme et ronchonna:
-ce n'est rien ... mais a l'avenir faite attention

Le centaure été décidement tres a l'etroit dans cette salle, et cela le rendait irritable,enfin plus irritable que d'habitude.

Quand il vit une porte s'ouvrir, il se dit que du haut de ses 3m20 il ne pourrait jamais passer la dedans.Il réfléchit.

Aussi eue t'il l'idée d'agrandir la porte.

Il se cabra en faisant attention de ne pas cogner sa tète et se mit a frapper la porte a coups de sabots pour la défoncée.

Il la frappa et frappa encore et a la fin elle céda, laissant un trou beant , assez large pour laisser passer Oreius.

L'endroit été un jardin assez etrange, ou plein de creatures tout aussi bizarre été.

Il remarqua plein de lapin blanc et se demanda si le lapin qui avait la montre en faisait parti.

Il regarda la jeune fille et se présenta, frappant son torse avec son poing avec gravité:
-je ne nomme Oreius Général centaure mon nom peut etre signe de paix ou de guerre tout dépend de la maniere de la rencontre

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Message de Poussière, ange.

Annabella vit le centaure défoncer la porte à coup de sabot et s'affola. Qu'est ce qui lui prenait de faire ça?!
Horrifiée elle voulut s'interposer mais sa survie était en jeu. Elle n'allait pas risquer de prendre un coup de sabot.
Mais elle ne put stopper son cri d'horreur tandis qu'elle se roulait en boule sur le sol, pour éviter que les pierres qui tombaient ne viennent la heurter.

Lorsque le bruit arrêta, montrant que le centaure avait fini de tout massacrer dans tant de violence, Bella se releva et vit une petite table, avec deux petits gâteaux.
Les apercevant, elle les glissa dans sa poche, elle n'en aurait pas encore besoin. Elle n'avait pas faim et n'aimait pas gâché les choses par gourmandise.
C'est pour ça qu'elle les glissa dans sa poche et s'avança près de l'ouverture faire.

Elle se sentait mal à l'aise d'avoir vu le centaure tout détruire. Elle ne savait pas qu'en penser mais déjà, elle ne l'appréciait pas. Ce n'était pas de bonne manière à avoir.
Dégoutée de son attitude elle passa tout de même la porte et découvrit un jardin remplie de lapin. Le seul problème c'est que la porte d'un mètre donnait à un monde de la proportion de la porte.
C'est à dire qu'ici tout semblait minuscule. Il aurait fallu faire un mètre pour apprécier cette endroit à la bonne taille.

Annabella soupira et s'affaissa en tombant sur le sol. Derrière elle, un trou béant. Il semblait que si ils avaient simplement passé la porte, il n'y aurait eu qu'une porte dans le vide, qui n'aurait été rattaché à rien et qu'on aurait pu contourner.
Et là, il n'y avait même plus de porte... Énervée, Annabella savait qu'il y aurait eu un autre moyen. En colère, elle reprit les gâteaux et grignota le premier tandis qu'elle observait d'un mauvais œil le centaure se présenter. Hautain. C'était le premier mot qui lui venait à l'esprit si il fallait le décrire.

Mais alors qu'elle allait lui répondre elle se sentit rétrécir, diminuer de taille. Elle se retrouva alors pas plus grande qu'un mètre. Elle devait faire 80 centimètre. Regardant autour d'elle, tout avait repris une taille normale. Rassurée par la situation elle se détendit.

Elle sourit alors et tendit le biscuit à Oreius pour qu'il prenne la même taille.
Il aurait fallu manger les gâteaux avant de passer la porte. ça aurait évité une destruction inutile. Mais le mal était fait.

Un mal qu'il faudrait guérir au plus vite. Surement alerté par la destruction un énorme chien à 3 têtes apparut, venant de nulle part et grogna sur les deux arrivants, prêts à n'en faire qu'une bouchée.
Mesurant 80 centimètres, Annabella ne pouvait rien faire. Tous les lapins s'enfuyaient en courant. Elle décida alors de se mettre à courir, suivant un lapin, afin de se cacher du chien, qui faisait plus de la taille de la petite humaine.
Ils ne pourraient rien contre une telle créature.

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Message d'Oreius, le centaure.

Oreius vit les gateaux, la femme en mangea et devint petite! a présent la femme lui arrivait a peine au sabot.

Le centaure refusa de les manger et dit de sa voix grave:
-non , il vaut mieux que je garde ma taille initiale , cela irait mieux ainsi et puis je n'apprecie que les fruits, si jai tout démoli c'etais pour pouvoir passer

Il prit la jeune femme dans sa large et puissante main et la souleva jusqu'a ses yeux:
-que recherchez vous en cet endroit jeune poulain?

Son air fier ne se décolla pas de son visage.

Il la posa sur son épaule puissante et dit:
- vous serez plus a l'aise ici mais n'essayez pas de monter sur mon dos, l'epaule cela passe, mais le dos non, je ne suis pas un mignon petit cheval dont on brosse la criniere , je suis un guerrier, que dirait les miens si mo...

Oreius se figea soudain en plein milieu de la phrase , comme en Pause.Et il été sur Pause! le regard fier figé et la tète tourné vers son epaule ou été assise la jeune femme.

Un lapin blanc avait appuyez sur la montre dans un ricanement.

Un chien a trois tete arriva et mordit les sabots du centaure sur Pause.

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Message de Spyro, le dragon.

La prairie fleurie, c'est un bien belle endroit me disais-je. Surtout que le temps était au rendez-vous, un soleil magnifique qui illuminait cette immense plaine de sa douce lumière, une plaine colorée par des milliers de fleurs de toute teintes. Je venais de quitter la forêt pour me retrouver dans ce petit paradis loin de tout. J'observais le ciel d'un bleu cyan, seuls quelques petits nuages blanc faisaient tâche dans cette voûte bleutée, ceux-ci se déplaçaient rapidement dans le ciel, poussés par le vent. Les petites nuages ressemblaient à des moutons fuyants devant le loup.

Je m'avança parmi les hautes herbes et dans ce cas présent, je pouvais les qualifier de bien hautes, mesurant plus de 60 centimètres et moi dépassant tout juste les cinquante, j'étais entièrement camouflé par les herbes. Si quelqu'un regardait dans la prairie, il ne devrait même pas m'apercevoir. Je devais me mettre sur les pattes arrières tel une mangouste pour pouvoir observer par dessus ce tapis végétale. Mon odorat était rempli des diverses phéromones dégageaient par les innombrables fleurs de ce lieu. Je m'avança dans cette jungle miniature en laissant derrière moi un sillage dans ce tapis d'herbe et de fleurs.

C'était bien joli ici, mais je commençais à avoir un peu faim, avec tout ce qu'il se trouvait dans cette plaine, j'arriverais bien à me mettre quelque chose sous la dent. Le seul problème c'est que je ne pouvais utiliser mon odorat, qui était encombré, pour trouver une proie. Je n'aventurais donc à tâtons, espérant tomber sur une créature où se serait moi le prédateur et non la proie. C'était tout aussi excitant qu'inquiétant de progresser ainsi, je ne voyais pas plus loin que les herbes que j'écrasais sur mon passage pour progresser.

Soudain, j'entendis un bruit. Même si mon ouïe n'entendait pour le moment que le bourdonnement des insectes et le bruit des herbes dansaient avec le vent, je venais d'entendre quelque chose de pas habituel. Je me dressa sur mes pattes arrières pour sortir ma tête des hautes herbes et observer les alentours. Je vis alors une humaine progresser dans la praires, je n'aimais pas beaucoup ça et commença à avancer plus rapidement.

C'est alors qu'en marchant tranquillement, je sentis le sol se dérobait sous moi, en fait c'était plutôt l'absence de sol. Je ne peux réussir à me rattraper et bascula rapidement dans le trou qui était devant moi. J'essayais de déployer mes ailes pour ralentir ma chute, mais je heurta violemment une des parois du trou. Fort heureusement, des racines présentent sur les bords du trou ralentirent ma chute que je me prit dedans. Je finis donc par faire un plat sur le sol, je me retrouvais tous membres écartaient et me prenais quelques mottes de terre que j'avais arraché durant ma chute.

Je me releva et retombât sur le sol, ma tête tournait encore trop. Quand je réussi à me redresser sur mes pattes, je détailla l'endroit où je me trouvais. Une salle circulaire, éclairé par quelques flambeaux et de nombreuses portes. L'un d'elle était entrouverte, ne voyant aucune autre sorti, je n'avais guère le choix. La porte n'était pas grande, mais je passais largement dedans. Quand je la franchis, je tomba dans un jardin emplit de drôle de couleur, mais surtout, je vis des lapins courir un peu partout. Je me lécha les babines, enfin quelques choses à me mettre sous la dent.

Sans perdre de temps, je me mis à en courser un. Il courrait vite, mais je gagnais peu à peu du terrain. Alors que j'allais le saisir dans ma gueule, je sentis tout mes membres se raidirent et je ne pouvais plus bouger. Je ne pouvais que constater que le lapin qui continua sa course. Il s'arrêta un moment et me regarda comme pour me narguer. Qu'est ce qui m'arrivais ? Je ne pouvais bouger que les yeux et en regardant aux alentours je vis un lapin bleu avec un veston et une montre. Intérieurement, je me disais que je venais enfin de trouver une créature qui avait une couleur plus flashie que moi. Le lapin me regarda et me fit un non du doigts en disant.

" Désolé mon petit, mais pas de ça ici. Han, je dois me dépêcher. "

Je le vit emprunter la porte par laquelle j'étais entrer et la fermer derrière soi. Dès que la porte claqua, je pus retrouver l'usage de tout mon corps. J'avais toujours faim moi. Je sentis alors une odeur intéressante, en me rapprochant de la source de cette odeur je vis des gâteaux posaient sur le sol. Je ne savais pas vraiment de quoi il s'agissait, mais quand on a faim on essaye tout. J'en prit un dans ma gueule et commença à le manger, cela avait un bon gout mine de rien. alors que le mangeais, je vis un autre gâteau devant moi grossir d'un seul coup. Quelle chance me disais-je, un gâteau encore plus gros. Alors que j'allais entamer celui-ci, un doute me vint. Je regarda autour de moi et constata avec horreur, que ce n'était pas le gâteau qui avait rétréci mais moi. Ca c'est vraiment le ponpon, moi qui n'était déjà pas bien grand, je faisais à présent dans les 25 centimètres de haut, deux fois plus petit que d'habitude.
Il fallait que je sorte d'ici.

Alors que je reprenais mes esprit, je vis le lapin bleu revenir par la même porte et la refermer aussitôt derrière lui. Il s'en alla rapidement. La porte explosa en un millier de fragments, par crainte, j'allais me cacher. C'est alors qu'un grognement derrière moi me fit me retourner, je vis alors un immense chien à trois tête qui se léchait les babines en me voyant. En un éclair, je me mis à courir, je me retrouva à courir parmi des lapins presque aussi haut que moi, ca c'était le comble. Je remarqua que le chien avait arrêté de me suivre, je me mis assis et reprit lentement mon souffle. A l'abri dans un petit buisson, je me remis de mes émotions.

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Message de Poussière, ange.

Tentant de fuir comme elle le pouvait du haut de ces 80 centimètres, jusqu'à ce qu'elle sente une main la saisir pour se retrouver face aux yeux du centaure.
Son souffle s'arrêta. Elle avait le vertige. Et Oreius qui avait trouvé la bonne idée de la soulever. Son sang ne fit qu'un tour tandis qu'elle lui répondit rapidement:
"Mais.. je ne cherche rien ici! Je suis tombée dans ce trou sans faire exprès!"

Lorsque le centaure la posa sur son épaule, elle n'était pas tellement plus à l'aise et lançait de vague regards dans le vide, apeurée. Elle préférait quand même être par terre.
Et alors que le Centaure commença à la sermonner pour qu'elle n'aille pas sur son dos, Annabella s'en moqua. Elle venait d'apercevoir une chose violette dans les buissons.
Amusée, elle voulut descendre mais vit le chien toujours au sol.

Elle était vraiment trop petite et le centaure était vraiment trop haut. Prise d'angoisse, elle glapit:
"S'il te plait, débarrasse-toi de ce chien et dépose moi par terre! J'ai peur du vide!"

La panique l'envahissait, elle voulait descendre à tout prix! Si elle restait ne serait-ce qu'un instant de plus, elle tournerait de l'œil. C'est pourquoi elle ferma les yeux et se jeta dans le vite de l'épaule du centaure.
La chute dura un instant. Et alors qu'elle aurait du une nouvelle fois s'écraser, elle tomba comme si elle avait débuté qu'un mètre plus haut.
C'est donc sans mal qu'Annabella se retrouva... sur le dos du chien à trois têtes.

Le chien s'agita de suite et l'humaine s'accrocha à son dos tandis que ce dernier se mit à courir dans la direction d'où il était venu. Pendant un long moment la femme le chevaucha, voyant passer une faune et une flore de toutes couleurs et de toutes formes et arriva dans une sorte de palais où le chien s'arrêta soudain. Elle s'était peut-être trop attaché à l'animal qui l'avait emmené trop loin du centaure. Elle aurait du le lâcher, mais craignait de se faire mal!

Et ce n'est pas comme ça, perdue elle ne savait où dans ce nouveau monde qu'elle trouverait une sortie pour rejoindre la tombe de Zaïne.

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Message d'Oreius, le centaure.

Oreius se défigea soudain.

S'apercevant que la jeune fille n'etais plus sur son épaule, il poussa un magnifique juron dans son language maternelle.

Il la chercha et la trouva enfin, sur le dos du chien a trois tète qui courait comme un fou et s'etais arreté devant un palais.

Ce chien commençait a l'agacer serieusement, il chercha un moyen de l'amadouer et de l'attirer vers lui.
Il vit soudain des biscuits, posé sur une table, peut ètre le chien aimerai ça.Il regardait les biscuits d'un air écoeuré.Il n'aimait pa ça!

Il prit des biscuits dans sa mains et les lui donna en disant pendant qu'il récuperer la petite fille:

-va t'en ailleurs petite chose ou j'employerai les grands moyens

Le chien obeit emportant chacuns des gateaux.

Oreius lui dit d'un ton bougon:
-il faut que tu sois prudente, ,ne craint rien je suis la non? halala ces humains s'effraie pour un rien, ah je vous jure ces petits poulains!

Il prit délicatement la jeune fille dans sa main , il la souleva et la colla au niveau de son torse et lui dit, bougon:
-si tu a peur petit ètre, ferme les yeux et blottie toi contre mon torse tu aura moins peur du vide et je ne risquerai pas de t'écrasée et puis cela te tiendra chaud

Il attendit (im)patiement la réponse de la jeune fille a sa proposition plutot séduisante.

Si elle refusé il la reposerai tout simplement par terre.

Puis il proposa, raleur :
-on rentre dans le palais?

Mais le palais été trop petit pour lui.

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Message de Spyro, le dragon.

J'étais terré comme un lapin sous les branches de ce buisson, je savais ce qu'ils ressentaient maintenant, il y e avait justement à côté de moi, mais vu leur taille plutôt imposante, enfin vu plutôt ma taille ridicule, je ne pouvais rien leur faire, surtout s'ils se mettaient tous à m'attaquer. Je jeta un œil apeuré dehors pour voir où se trouvait l'horrible chien. Mais au lieu d'apercevoir le chien, je vis une curieuse créature qui était gigantesque, elle avait le corps d'un cheval mais le buste d'un homme. Elle avait sur l'épaule une humaine minuscule, mais toujours plus grande que moi. J'avais l'impression de l'avoir déjà vu, je me demandais si ce n'était pas l'humaine que j'avais aperçut dans la prairie. Elle avait certaine eut la même "chance " que moi pour être tombé dans le trou et elle avait surement gouté au même biscuit que moi.

C'est à ce moment qu'elle sauta de l'épaule de l'homme-cheval, vu la hauteur, elle allait se faire mal, voir se tuer. Mais elle se figea en l'air, ca c'était le coup de ce lapin bleu. Je regarda dans tout les coins pour voir où il était, mais je ne le trouva point. La jeune femme reprit alors sa chute et atterrit sur le dos du chien qui se mit à ruer dans tout les sens. Le chien se mit à courir dans tout les sens et quand il vint vers le buisson, les lapins se mirent à s'enfuir. Sans réfléchir je me mis à les suivre en détalant comme eux.

Après un course de cinq minutes, je me trouva seul perdu dans cet étrange monde. Je ne savais pas où était parti ce chien, mais ce que je savais c'est que j'avais prit la direction opposé à lui. Me voilà maintenant, seul entre d'énorme champignon avec de drôle de couleur. Je m'avança silencieusement et peu sur de moi, dans un monde pareil qui sait sur quoi je peux tomber. Au détour d'un champignon géant, je vis une longue table disposait dans une petite clairière. La table était très longue et peu large, une grande nappe blanche la recouvrait et sur cette nappe, il y avait plein de petit gâteau, de couvert, tasse de thé et autre. Amusé et curieux qu'une table tel qu'elle se trouve dans un endroit pareil, je m'avança quand soudain un voix s'éleva:

" Eh voilà un nouvel arrivant pour boire le thé."

J'eus à peine le temps de me retourner, qu'un homme, gigantesque pour ne pas changer, me prit dans ses mains. Il avait une drôle de tête et un long chapeau, il avait le visage couvert de maquillage, il me sourit et m'emmena vers la table. J'essayais de me débattre, mais vu ma taille, je ne pouvais rien faire. Il m'installa alors autour de la table sur une sorte de chaise pour bébé. J'avais les pattes avant libre sur la table, mais la chaise m'empêchait de bouger pour m"enfuir, car une sangle au niveau de ma taille m'empêchais de me faufiler par dessus, il l'avait serré fort le bougre. L'homme se mit assis sur une chaise à côté de moi. Il me sourit et cria:

" Hého lièvre de Mars, le Loir venaient, nous avons un nouvel invité qui va prendre le thé avec nous. "

Le thé, qu'est ce que c'est que cette chose encore. Je vis alors sortir de nulle part, un lièvre avec un veston, mais ce n'était pas celui que j'avais déjà rencontré. I fut suivit par un loir, tout deux avaient une taille conséquente, moins grand que l'humain mais toujours plus grand que moi. Le loir vint s'asseoir à côté de moi et le lièvre en face. Le lièvre paraissait un peu folle dingue et dit aux autres en me regardant:

" Quel drôle de lézard, il a des ailes et est violet en plus..."

Je me tourna pour voir ce que faisait le Loir et je constata qu'il était affalé sur la table en train de dormir. Cela ne semblait pas perturber les autres qui continuaient à se poser des questions sur moi. C'est alors que le Chapelier fou, c'est comme cela qu'il se nommait à ce que j'avais pu entendre durant leur conversation, tapota dans ses mains en disant:

" Bon, n oublions pas l'heure du thé..."

Fou, ils étaient tous fous ici et j'allais le devenir si je n'arrivais pas à me sauver. Le Chapelier fou prit alors une grosse tisane qu'il déversa dans un tasse devant chacun de nous. Quand il me tendit la tasse, je regardais le liquide présent dedans avec un regard interrogateur. Les autres prirent leur tasse entre leur main et se mirent à boire lentement le contenu en faisant des slllurp sans arrêt. Je devais boire ce truc sinon ils allaient se vexer et je ne préfère pas savoir ce qu'ils feraient de moi vu leur état. J'approchais la tasse avec ma patte, c'était pas très pratique. Quand elle fut assez prêt de moi, je plongea le museau dans la tasse et lapa le contenu. Arf, quel goût, je n'aimais pas du tout ça, mais vu que tout le monde, a part le Loir qui dormait toujours, me regarder, je n'eus d'autre choix que de continuer à boire. Le Chapelier prit un gâteau qu'il mangea, il ne rétrécit pas lorsqu'il l'avala. Enfin quelques chose de normal à cette table. Il se tourna vers moi et me tendit une assiette contenu plusieurs gâteau. Il me demanda la bouche pleine en envoyant des miettes partout en parlant:

" Tu 'enn beut ??"

Il avait la bouche pleine et ce qu'il disait était incompréhensible, mais je compris par le geste qu'il me demandait si je voulait en gâteau. Pour ne pas le vexer, je tendis la patte et propulsa une gâteau qui tomba juste devant moi. Je me mis à le manger, ca au moins c'était bon. Tout le monde mangeaient et buvaient excepté le Loir qui dormait. Le chapelier et le lièvre parlaient entre eux de chose totalement grotesque à mes oreilles. Il fallait que je sorte d'ici.

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Message de Poussière, ange.

Arrivée devant le palais, Annabella ouvrit de grands yeux émerveillés. Celui-ci était de rouge et de blanc et semblait scintiller de milles feux.
Elle ne put s'empêcher de pénétrer dans le jardin pour découvrir que des dés de toutes formes, avec un nombres de face variants mais toujours en blanc avec des points rouges qui s'amusaient à tailler les buissons en boules.
Curieuse, elle alla vers eux et leur demanda:
"Excusez moi, mais pourquoi taillez vous les buissons comme ça?"

Ceux-ci la regardèrent comme si elle était folle et la femme se sentit soudain très mal à l'aise. Qu'avait-elle dit de si atroce pour qu'on la considère soudain ainsi?
Mais un garde-dé lui répondit toutefois:
"C'est la princesse Alice bien sur! Autrefois, elle voulait les buissons rouge et blancs en forme de dés! Maintenant elle les veux ronds!"

Annabella hocha doucement la tête, rassurée de savoir qu'en définitive, ce n'était pas elle la folle! Du moins, c'est ce qu'elle pensait.
Mais elle ne pouvait pas rester plus longtemps ici, elle devait s'éclipser. Sans demander son chemin à ces dés là. Ils étaient trop étranges pour qu'elle ose de nouveau leur adresser la parole.

Mais c'est en se retournant qu'elle aperçut de nouveau le chien, qui grognait alors qu'elle l'observait. Poussière fit la moue, salua le chien et tenta de passer à côté de lui, l'air de rien.
Mais il n'avait pas l'air d'accord avec ce point et grogna encore plus vivement, sur la défensive. Près à passer à l'offensive. Elle tenta un sourire, voulut avancer sa main pour le caresser mais il sembla vouloir la mordre. Rapidement, la main se retira et il y eut un pas fait en arrière.
Mais les pieds de la femme heurtèrent un objet et elle tomba sur les fesses, se rattrapant de justesse avec les mains.

Afollée, Anna chercha l'objet qui l'avait jeté à terre et aperçut le lapin bleu. Surprise de le revoir, elle l'attrapa par la veste et lui demanda, d'une voix dure:
"Comment on sort d'ici?"

La lapin se débattit quelque peu avant de se stabiliser pour répondre:
"Rejoins le lézard violet puis cherche Verte Forêt qui est avec les sept flocons. Elle devrait vous aiguiller vers la sortie. Tu trouveras ton ami avec le Chapelier, le Loir et le Lièvre"

Puis, sans quel sache comment, le lapin disparut et la laissa par terre. Mais apparemment, il était parti avec le chien. Soulagée, la barde se releva et sortit du palais, d'un pas vif.
A l'entrée, deux autres gardes en forme de dé sur jambe l'arrêtèrent et lui demandèrent où elle allait. La femme fronça les sourcils. Depuis quand des gardes s'intéressaient à où allait une personne sortait alors qu'ils se moquaient du fait qu'elle rentrait. Poussière secoua la tête et répondit toutefois:
"Je vais voir le hum.. Chapelier, le Loir et le Lièvre"

Les gardes se regardèrent, comme si cette fille était tombée sur la tête et la laissèrent passer, sans rien dire.
Puis, Annabella prit la route, marchant sur les sentiers tracés. A une bifurcation, elle s'arrêta devant deux panneaux et les regarda. Chacun menait vers une direction opposé, mais rien n'étaient écrit dessus. La barde soupira et se résolut à prendre à droite quand un hamster d'un mètre de haut, avec des yeux mesurant au moins la moitié de sa taille apparut pour lui parler:
"Bienwenue mademoizelle, wous z'êtes perdu?"

Annabella recula quelque peu, étouffant un cri effrayé, devant cette apparition et bredouilla une réponse, tandis que l'étonnement ne cessait de croitre.
Quitter cette endroit au plus vite était une question de survie! Son état mental, déjà s'effritait!
"Je euh.. Chapelier, cherche?"

Le hamster pencha la tête et répondit, amusé:
"Vous z'awez une drôle de manière de parler. Mais je saurais vous z'y emmener. Suiwez mon regard"

Annabella fronça les sourcils, tentant de comprendre ce qu'il voulait dire par là, quand la solution s'offrit à elle. Le hamster aux yeux comme des soucoupes disparut, laissant juste ses yeux flotter dans les airs, qui s'avançait sur le chemin de gauche. La barde ne sut quoi faire et resta immobile un instant avant de poursuivre en courant les yeux. Au bout d'un quart d'heure elle arriva devant une table, avec plusieurs convives à table, dont le lézard violet. Elle le salua d'un signe de tête tandis qu'un grand homme s'approchait d'elle:
"Oh, mais que voila une jolie damoiselle! Pour le thé c'est cela? Combien de sucres?"

Mais avant qu'elle ne puisse répondre l'homme la saisit par la main, d'une poigne ferme et l'emmena à côté du dragon sans qu'elle ne puisse rien faire. Le dragon avait l'air coincé dans cet endroit et si elle se laissait faire, elle serait bloquée à son tour. Il fallait qu'elle fasse quelque chose qui lui permettrait une certaine liberté et de libérer le "lézard violet" sans qu'elle n'éveille aucune suspicion.
Dans ce cas, autant faire ce qu'elle savait le mieux exécuter: chanter. La danse viendrait après, il suffisait de les entrainer dans une chanson. Une musique qui leur correspondait.

C'est en apercevant un côté où il était écrit qu'Annabella eut l'idée de sa chanson. Elle s'excusa donc auprès du chapelier, et tenta de se dégager:
"Avant de m'installer j'aimerais souhaiter un joyeux non-anniversaire! Me laisserez vous chanter?"

Avec un sourire charmeur, tandis que les gens présents se sont mis à applaudir avec enthousiasme, Annabella saisit son luth, et commença quelque note puis se mit à chantonner:
"Et nous souhaitons à tout le monde avec nos vœux sincères, un joyeux non-anniversaire ♪ "

Très vite, les personnes réunit se saisir par le bras et se mirent à tourner ensemble. Le dragon fut ainsi libéré par le Chapelier et commença une danse folle tandis qu'Annabella chantait au milieu de la troupe tournoyante. Et alors que les personnes semblaient prise de folie par la musique, ils n'accordaient plus d'importance à Anna ni au dragon.
Celle-ci s'écarta donc, en faisant signe au dragon de la suivre et s'écarta lentement, tandis que le Chapelier, le lièvre, le loir et le hamster chantait à tue-tête.
Elle continua de jouer quelques notes puis s'enfuit à toute jambe, suivit du dragon, qu'elle venait de sauver en quelque sorte.

Invité

Message de Spyro, le dragon.

Fou, ils étaient tous fou dans ce monde souterrain, si je continuais à rester avec eux, j'allais le devenir aussi. Les discussions sans aucun sens du Chapelier et de lièvre, les ronflements du Loir, j'en pouvais pu...Je plaça mes deux pattes avant sur ma tête pour tenter de boucher mes oreilles en m'affalant par la même occasion sur la table. Maudite chaise, je serais déjà loin, si elle ne me serrait pas autant. Si je devais devenir fou, autant en profiter au maximum avant, je ramena alors l'assiette qui contenait les gâteaux et les mangea un à un. Au moins, il ne me faisait rien, ma taille ne changeait pas et en plus ils étaient bon.

Quand il ne resta plus que les miettes, je rallongea mon buste sur la nappe blanche, je soufflais pas les narines, totalement désespéré. En ondulant ma queue, je sentis quelques chose de bizarre, de différents. Je me redressa sur ma chaise et tourna ma tête vers le bas pour regarder ce qu'il pouvait y avoir. Quand j'aperçus le problème, j'eus une envie de hurler, je sentais mon cœur faire un bond. Le bout de ma queue n'était plus le même, j'avais à présent un pompon rose au bout. J'espère être en fait fou et avoir une hallucination, mais non c'était belle et bien la réalité. Voilà, j'avais pour but de sortir d'ici et maintenant je devais aussi trouver un moyen de redonner à ma queue sa vraie forme.

Soudain un poing tapa sur la table, me faisant sursauter et réveillant le Loir qui regardait tout autour de lui pour se demander ce qu'il se passait. C'était le Chapelier qui venait de taper sur la table qui la fit trembler, les couverts de porcelaines s'entrechoquèrent dans un bruit aiguë. Il me regarda moi et le Loir, qu'allait-il sortir comme connerie encore. Il inspira profondément et me dit à moi et au Loir:

" Il est temps de s'occuper de la princesse de trèfles. "

Les autres prirent une inspiration, comme s'ils étaient choqué, moi je haussais un sourcil et baissé l'autre. Qu'est ce que c'est que cette connerie encore. Le Chapelier reprit, il avait l'air sérieux:

" Oui, le moment est venu, en plus avec notre ami lézard rose, on sera plus fort pour s'attaquer à son palais."

J'étais surpris, je m'attendais à tout dans ce monde étrange et fou, mais pas à devoir prendre d'assaut un château. Le Loir regarda le Chapelier avec des yeux tout rond et lui dit:

" Mais, tu-te rends compte que cela risque d'être difficile, cela risque d'être infaisable.

Je me sentais rassuré, enfin un qui avait la tête sur les épaules. Prendre un château alors que nous sommes que quatre...Le Loir continua de parler:

" Oui, il sera très difficile d'intercaler une pause pour prendre le thé lors de l'assaut."

Je laissa ma tête tomber sur la nappe, je la tapais même sur la table, les couverts faisaient des petits bonds à chaque coups. Craquer, j'étais sur le point de craquer.

Soudain, alors que je regardais autour, j'aperçus l'humaine que j'avais vu à la surface et juste avant l'attaque du chien. Elle cherchait surement un moyen de sortir d'ici. Le Chapelier s'approcha d'elle rapidement, le sourire aux lèvres, comme je l'imaginais, il l'invitait à prendre le thé. La pauvre, elle allait se retrouver bloquer à cette table tout comme moi. Il la prit par la main et la conduit vers nous. C'est alors qu'elle voulait souhaiter un joyeux non-anniversaire en chantant avant de s'installer. Ils applaudirent et elle commença à chanter, elle était devenue folle également à première vue. Le Chapelier vint à moi, me libéra et m'emmena parmi les autres pour danser. Me tenant par les pattes avant, j'étais debout sur les pattes arrières, s'il me lâchait, je tomberais à coup sur. Quand, il me lâcha, je réussis à atterrir sur mes pattes, alors qu'ils étaient tous occupé par la musique, l'humaine me dit signer que c'était le moment de s'enfuir. Pas besoin de me le dire deux fois, je me mis à courir à ses côtés, elle était grande comparé à moi, mais ça, même à la surface, ca serait le cas.

Après avoir couru un long moment, on se retrouva enfin seul. Sauvé, me disais-je. Je regarda l'humaine et lui dit:

" Merci beaucoup, j'allais devenir fou si je restais cinq minutes de plus. Tu viens aussi de la surface si je ne me trompe."

Je me mis assis sur le cul, les pattes arrières en avant. Je reprenais mon souffle tout en regardant ma queue avec le pompon rose au bout.

" Je m'appelle Spyro et heu ne t'inquiète pas, ce truc au bout de ma queue n'est pas normale."

Alors qu'on parlait, deux filles, mince comme des clous et qui se ressemblaient comme deux gouttes d'eau, sortir de derrière les buissons. Qu'allaient-ils nous arrivé???

Invité

Message d'Oreius, le centaure.

Le centaure ragea, la jeune fille lui avait encore echapper, il l'avait cherchée partout:

-ce n'est pas possible, il faut que je la ligote ou quoi?!! elle m'enerve cette gamine!

Puis soudain, Oreius la vit courir avec un petite chose dans les bras, ils s'arreterent devant lui et le centaure ragea :

-ce n'est pas POSSIBLE SA on doit rester ensenble, on vient tout les deux de la surface et toi tu t'enfui sans moi! on doit rester ensenble que sa te plaise ou non!

Voila c'etais la maniere du centaure de s'inquietez pour les autres!

Il se calma et prit le petit dragon dans sa main et le déposa sur son epaule puissante:
-tu sera mieux la! mais interdiction d'allez sur mon dos sinon je rue!

puis il s'adressa la jeune fille :
-a ce propos tu ne t'est pas encore présentée!

Soudain deux jeunes filles minces sortirent d'un buissons, elles étaient maigres comme des clous! elles se ressemblaient, on aurait dit des jumelles!

Il les regarda d'un air méfiant:
-comment vous vous appelez?

Il tata son arc accroché a son dos.

Invité

Message de Poussière, ange.

Annabella n'en pouvait plus, elle s'essoufflait, commençait à avoir mal aux jambes et son bandeau s'était desserré, faisant des petits mouvements qui présageait sa chute. En catastrophe, l'humaine dut le remettre, ce qui la ralentit considérablement et la mettait en pleine course dans une situation de déséquilibre.
Ce n'était pas l'idéal, mais la jeune fille détalait encore, il fallait qu'ils se sauvent d'ici!
Mais la fatigue fit rapidement effet et ils s'arrêtèrent petit à petit. Arrêtée, Annabella se pencha en avant, pliée en deux, une main sur un genou pour se tenir, l'autre sur le ventre pour tenter de calmer sa respiration. Elle pensait être en sécurité maintenant, loin des fous de thé!
Le dragonnet lui parla alors:
" Merci beaucoup, j'allais devenir fou si je restais cinq minutes de plus. Tu viens aussi de la surface si je ne me trompe. Je m'appelle Spyro et heu ne t'inquiète pas, ce truc au bout de ma queue n'est pas normale."

Annabella se releva et s'assit à son tour pour répondre:
"J'étais aussi en train de devenir complètement folle! Je ne sais pas où on est tombé, mais il faut sortir le plus vite possible!"

Amusée, elle observa le pompon sur la queue du dragon et rigola en répondant, voyant que Spyro était affolé d'avoir ça sur lui:
"Encore un mauvais tour de ce monde? J'ai juste rapetissé moi, et je vois que c'est aussi ton cas!
Enchantée de te connaitre, je m'appelle Annabella, mais on me surnomme Poussière"

D'un beau sourire, la femme lui lança un clin d'oeil. Naturellement, elle était très sociale et souriante. De plus il était indispensable qu'ils s'entendent si ils voulaient sortir. Puis, les couleurs du dragon le rendait agréable.

Mais cet instant de répit fut de courte durée quand deux sœurs jumelles extrêmement fine et grande apparurent. L'humaine lança un regard qui en disait long sur sa lassitude et son envie de s'échapper. Mais alors qu'elle se relevait, elle sentit qu'elle ne pourrait pas courir pour s'enfuir, elle était trop affaiblie par la précédente course.
Elle lâcha un juron discret lorsque les deux filles les immobilisèrent par magie et les emportèrent avec elles, en les trainant dans les airs par un sort de lévitation.
Ils ne pouvaient plus bouger leurs membres qui était devenu flasque d'un coup. Seul le visage pouvait bouger un peu.

Poussière fit la moue en reconnaissant le chemin qu'elle avait emprunté en quittant le palais. Il retournait voir Alice, la Princesse de Trèfles. Il fallait qu'elle briefe Spyro sur ce qu'il allait voir.
Heureusement qu'ils étaient côte à côte. Mais le silence pesant de celles qui les avaient kidnappés n'allaient pas les aider pour communiquer discrètement. Il fallait qu'elle trouve un autre moyen. Elle eut ainsi l'idée de s'adresser aux filles:
"Nous allons chez Alice n'est-ce pas? Dans son palais blanc et rouge avec ses gardes en forme dé, blanc aux points rouge, qui vont nous accueillir c'est ça? Ils sont encore en train de tailler les buissons aux gouts de la princesse?"

Les filles ne répondirent pas, mais ils continuèrent leurs chemins jusqu'au palais. Elle espérait que le message était passé et que le dragon savait ce qui l'attendrait, sans trop de surprise. La femme aurait voulu en dire plus, mais elle n'en savait pas plus, alors elle s'était tus.
Il faudrait qu'elle parle de Verte Forêt et des sept flocons à l'homme, c'était leur seul moyen de partir de ce monde, mais elle craignait que les "clous humaines" l'en arrêtent violemment. Elle devrait trouver un autre moyen pour le dire.

Les sorts se levèrent une fois la porte du palais passée. Annabella se releva et se rapprocha de Spyro pour tenter de lui glisser un mot, mais apparut devant eux une fille de 18 ans, blonde aux yeux violet. ça devait être Alice.
Elle cracha un
"Bienvenue dans mon Palais, invités. Allons dans la salle du trône, pour lier connaissance."

Perplexe, Anna regarda Spyro et suivit la fille, sans rien dire. Elle était froide cette nana! Elle ne l'aimait définitivement pas et se laissa emporter dans la salle du trône, où elle découvrit un seule et unique siège: le trône. Il prenait tout le mur et aurait pu accueillir une vingtaine de personne, mais seule la Princesse y allait.

Anna' soupira doucement tandis que la Reine s'intéressait à Spyro.

[HRP: Tu vas y arriver? Bonne continuation. Fais ce que tu veux avec la Reine, elle n'est pas méchante en elle-même. C'est juste une enfant qui a grandi trop vite, qui veut être dur et qui a perdu sa naïveté.
Juste comme ça, elle aime jouer aux dés et au cricket ^^
Après, amuse toi à faire ce que tu veux =D ]

Invité

Message de Spyro, le dragon.

L'humaine était essoufflée, tout comme moi, les gâteaux plus le thé, c'est pas le top pour piquer un sprint ensuite. Elle s'assit pour me répondre, elle aussi allait devenir complément folle, on devait trouver ensemble un moyen de sortir de ce monde de fou et de rejoindre la surface. Quand elle aperçut le pompon rose fluo au bout de ma queue, elle rigola. J'aurais pu le prendre mal, mais il est vrai que si j'étais à sa place, j'aurais trouvé ça plutôt comique. Puis, elle se présenta, elle se nommait Annabella, mais on l'a surnommé Poussière. Quand elle me dit qu'elle avait tout comme moi rapetissé, j'eus un sourire et lui dit en rigolant.:

" Ben...pour ma taille, j'étais encore plus petit que ta forme rétrécie à toi, je fais un réalité dans les 50 cm de haut et là je mesure à peine 25...je devrais pas manger tout ce que je trouve..."

C'est à ce moment que deux sœur jumelle très maigre arrivèrent, on eut même pas le temps de dire ouf, qu'on se retrouva, elle et moi, dans une sorte de bulle magique. Tout notre corps étaient figé, tout nos membres ne répondaient plus à nos envies, on pouvait seulement faire mouvoir notre visage à notre guise

Les deux sœurs nous emmenèrent sur un chemin qui m'était inconnu, où allons nous encore atterrir? Je jeta un regard à Poussière, elle semblait bien mécontente, je me demandais pourquoi. C'est à ce moment qu'elle se mit à parler aux deux jumelles. Elle leur demanda si elles nous emmenaient bien chez Alice, dans son palais?? Elle parlait de dé, j'avoue avoir eu du mal à saisir cette partie de la phrase. Je compris cependant que si Poussière leur dit ceci, c'était pour m'en informer moi, elle avait donc déjà était dans le palais. Le palais, c'était peut-être le château que la bande du Chapelier voulait prendre d'assaut...

On arriva alors devant un énorme palais, enfin il était surtout énorme car on avait pas notre taille normal. IL était magnifique tout de même, en passant dans l'allée centrale, je vis des sortes de gros dés qui taillaient les buissons autour du château. Je venais enfin de comprendre ce que voulais me dire Poussière, quel monde de fou...Dès qu'on fut dans le palais, on nous sortit de la bulle magique. Immédiatement, je me rapprocha de Poussière, j'étais quand m^me craintif, dans un monde pareil, qui sait ce qui peut arriver. C'est à ce moment qu'une jeune fille apparut devant nous. Elle nous souhaita la bienvenu et nous demanda de nous suivre, je compris qu'il s'agissait d'Alice et qu'elle était la reine en quelque sorte. On la suivit sans un mot, on arriva alors dans la salle du trône. Le trône en lui même faisait la même largeur que la pièce et seul Alice alla s'asseoir. Mais j'aimais pas comment la reine me regardait. C'est à ce moment qu'elle demanda à une des jumelles:

"Apportez moi cette drôle de créature...."

J'eus à peine le temps de réagir, qu'une des jumelles me prit et m'apporta vers Alice. Je me débattais un poussant des petits gémissements plaintifs. Elle s'arrêta à environ deux mètres de la reine, elle voulait pas que je tente quoique soit envers elle. C'est à ce moment qu'Alice se leva et marcha vers moi en ne me lâchant pas des yeux, elle dit alors:

"Je n'avais jamais rien vu de tel. Très bien emmenez la dans les cachots et faites en sortes qu'elle soit vite prêt. L'heure approche..."

[i]La femme maigre comme un clou m'emmena, je me débattais de toute mes forces, mais n'était pas de taille à lutter. Qu'allaient-ils faire de moi dans un cachot? Ils voulaient m'entrainer? entrainer à combattre surement, je ne voulais pas devenir un instrument de guerre. J'essayais de m'agripper avec mes griffes sur le sol en marbre, mais à part laisser des rayures dans celui-ci, je ne faisais rien d'autre.

Quelques minutes plus tard, je me retrouva dans une cage de fer dans une pièce sombre, humide, les cachots quoi. En regardant autour, je vis des lapins dans des cages similaires, il y en avait de toutes les couleurs...Un énorme dé, qui ne semblait pas sympa du tout, vint vers moi et me regarda de haut. Il dit à la jumelle avec le sourire:

"Voilà donc la créature que la reine veut que j'entraine. Ca va être rapide hahaha"

J'avalais ma salive en me blottissant dans un coin de ma cage.

Pendant ce temps en haut, la reine regardait Poussière et dit à l'autre jumelle:

"Emmenez la, et faites ce que vous voulez d'elle..."[/i]

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