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Un nain faillible forgeron (Hélianthe Sonnedottir - haron - Sa)
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
Nombre de messages : 212 Style de combat : meur en silence tu gâche le brui de l'explosion
| Sujet: Un nain faillible forgeron (Hélianthe Sonnedottir - haron - Sa) Dim 1 Fév - 14:16 | |
| Le jour nétais pas encore levez que l'on entendait un calme plat . Cela ne pouvait dire qu'une chose le nain été réveiller ses ronflement c'étai arrêter. Quelque minute plus tard le bruit des botte en métal ce fit entendre dans le couloir Peut de temps après le voie du nain ce fit entendre . Dans un premier temps en bas de l'escalier puits a l'extérieur
"Merci Roger . Enki debout on y va " le bruit du métal contre le métal ce fit entendre suivi du bruit de masse tomban au sol
Le nain avait donner un coup de bote dans la roue en métal de la diligence ; puis le loup avait sauter au sol le nain posa le tonneau sur la place prevut pour sa a coter du siège de pilotage . puits il harnachât le loup a la charrette imposent
"Roger oubli pas mon cascroute a midi"
La diligence prit alors la route pour le marcher.
une quinzaine de minute plus tard il arriva sur la plateforme qui commansait a ce remplier
La place était colossale a l'origine ce lieux devait être une clariére au ciel dégager
Le nain s’installent prés du pont qui mène au palet . Ignorent totalement l'humain qui convoiter le même emplacement . Il retira le harné a henki et "ouvrit" la diligence colossale se qui lui prit une bonne demi heure. Le soleil ce levait calmement fessant scintiller les article du maître forgeron qui rivalisai sans difficulté avec l’artisanat elfe |
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Sa
Nombre de messages : 7 Style de combat : Victime
| Sujet: Re: Un nain faillible forgeron (Hélianthe Sonnedottir - haron - Sa) Dim 1 Fév - 16:06 | |
| Augure Porté par les courants mélodieux du silence, le monstre s'aventure toujours plus loin. La sombre grotte de pierre qui l'a vu naître est désormais lointaine ; si lointaine que Sa l'a oubliée. Les arbres l'entourent comme un carcan sacré qui à la façon d'un dieu qui voudrait l'immobiliser. La forêt est là, elle l'entoure. La lumière se plaît à jouer entre les feuilles fragiles, ultime rempart que la terre pose entre elle et son ennemis pour le pas être brûlée. Ici, les ombres se plaignent, elles se plaignent d'être oubliée. Ce sont pourtant elles qui cachent les dangereux elfes qui suivent lentement du regard l'enfant innocent ou fou qui marche sans savoir où il va. Cela est ridicule ; une troupe pour un enfant ? Elle vient seulement d'être remarqué. Les arbres d'ivoire aussi, viennent à peine d'apparaître. Ils tranchent douloureusement dans cet atmosphère si désinvolte, apportant du sacré là où il ne devrait pas en avoir. Ils tranchent douloureusement les ombres, réfléchissant l'éclat solaire aux tentations multiples. Le jour est déjà là. Sa souffre. Sa s'ouvre à son univers. Ces géants, ma foi, bien pâles ne sont que des statues de sucre. Il semblerait qu'une pluie égarée suffirait à les réduire en poussière. Les soldats en quitter les ombres et se rapprochent de l'intrus. Les ombres se plaignent sans cesse : abandon, oubli, douleur. L'indésirée se met à attaquer les arbres, elle plante sans cesse ses dents arrondies dans l'écorce inébranlable de l'arbre ébranlant. Les seigneurs de la sylve arrivent. Ils voient. Sa s'immobilise. Il est vu. La bête écarte ses dents de l’imperturbable perturbant blanc titan immobile. Les ombres crie. L'erreur pleure. Les rôdeurs rient. « Tu vas bien ma petite ? Tu es perdue ?- Eh mais qu'est-ce que tu racontes, je te dis que c'est un gars, moi.- Bah on va bien voir. Petite, es-tu un garçon ou une fille ? »Les pleurs redoublent. Mais taisez-vous enfin ! Les des gardes elfes se retrouvent décontenancés. Ils n'ont pas l'habitude des enfants, encore moins de ceux qui pleurent. Ils restent un moment immobile sans savoir que faire, ayant l'impression que la moindre action de leur part risquerait d'accentuer un moment le phénomène. Lentement, les regards convergent vers la seule demoiselle du groupe comme si elle allait en savoir davantage. Elle n'a le temps que de commencer à dire « Vous rêv... » qu'elle se retrouve interrompue par l'un d'entre eux, excédé par leur attitude : « Mais enfin quoi ? C'est une gamin...- ...un gami...- Peu importe, ce n'est pas un ogre. Vous devriez au moins savoir faire quelque chose. »Concert d'exclamations embarrassées. « Bon d'accord, je m'en occupe. Vous, continuez à monter la garde. »Le Chef a parlé. Les autres n'osent pas le contredire. La Naïveté le perdra. Capture Un chevalier se promène dans le marché en préparation, profitant d'une occasion pour s'offrir une pause agréable et méritée. L'inconscient ne remarque pas, ou qu'il le veuille ou qu'il soit simplement stupide, l'animal anthropomorphe qui s'agite le poignet retenue par sa main de fer, tentant parfois de de se suspendre, d'autre fois de tirer pour réussir à se libérer. En désespoir de cause, la chose entravée se décide finalement à mordre son gantelet de fer, escomptant au moins une réaction. Rien. L'elfe a une discipline martial, ainsi d'ailleurs qu'un joli sourire au lèvre ; du repos gratuit, du rêve. Bien que sa proie s'agite, elle n'a pas encore prononcé le moindre mot donc il n'y a même pas besoin d'entretenir avec elle une conversation inutile : de plus, elle a malheureusement refusé toutes ses propositions de nourriture, il ne peut donc malheureusement gaspiller son argent pour elle. Un œil vers le soleil finit par le faire soupirer. Il a pris trop de temps. Un regard se pose sur la puérile victime qu'il doit aider. Il hésite un instant. Finalement, il se dit qu'elle réussira bien à se débrouiller toute seule sans lui. Et au pire, le marché ouvrirait bientôt et il y aurait bien quelqu'un d'assez magnanime pour avoir l'idée d'accomplir une bonne action en aidant un enfant perdu. Fracture Libération ! L’ennemi à fuit. Les efforts n'ont pas été faits en vain. La lumière tourbillonne un instant poussé par l'esprit d’allégresse qui se dégage de l'être étranger. Puis le doute reprend. Où ? La tornade de lumière se réduit en triste pluie d'étoiles. Sa ne sait pas. Sa est hors de ce qu'il connaît. Sa fait alors la seule chose qu'elle sait faire, la seule chose à quoi il est habitué : marcher. Sur le marché, l'elfe aux allure d'ange souillé, d'ange maudit, d'ange déchu, erre. Il erre en se sachant perdu. Les ombres s'étalent péniblement sous le soleil aux rayons penchés. Sa avance sans savoir voir. Un éclat parvient alors à son cœur. Un éclat métallique, un éclat de neige. Un éclat lui rappelle le martyr, le froid, l'harmonie de sa naissance. Le monstre, un instant redevient ombres et lumière, il se souvient des montagnes. La curieuse se rapproche. L'impatient court. Tout en Sa aspire à trouver cet éclat. Il est là, là sur l'étal. La main avide se tend pour toucher et se coupe sur la lame. Elle continue pourtant à s'agripper, à la serrer jusqu'à ce que l'arme tombe sur le sol, attirant l'attention et révélant le larcin qui s’apprêtait à être commis. |
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Hélianthe SonnedottirInvité
| Sujet: Re: Un nain faillible forgeron (Hélianthe Sonnedottir - haron - Sa) Ven 6 Fév - 2:45 | |
| Message d'Hélianthe Sonnedottir, naine.
Hélianthe dormait comme une souche. Immobile. Bien au milieu du lit, la couverture remontée jusqu’à sa bouche. Elle respirait fortement sans pour autant atteindre le ronflement.
Elle se réveilla soudainement suite à un rêve étrange. Songe flou dont juste une impression fugace subsistait. La naine se redressa dans la couche décidément trop grande. Il lui fallut un temps d’adaptation pour s’habituer à la pâle lueur lunaire filtrant par les sombres rideaux tirés.
L’enfant voulut se redormir, mais la possibilité de poursuivre sa nuit de la manière l’ayant conduite au soudain réveil l’en empêcha. Impossible de fermer l’œil. Du moins, de le garder. Elle tournait, se retournait, tourneboulait dans la couverture sous laquelle elle finit, à force de mouvements, par se perdre. Cet égarement l’énerva. Elle ne trouvait la sortie tant convoitée.
Cinq minutes passèrent. Puis, cinq supplémentaires. Cinq de plus s’ajoutèrent. Cinq vinrent s’additionner au total. Finalement, l'agacement avait cédé la place à l’épuisement. L’emmitouflée s’était empaffée.
Hélianthe ouvrit les yeux une nouvelle fois. Les ténèbres l’accueillirent et l’entourèrent. La panique commença à poindre lorsqu’elle se rappela qu’elle était recroquevillée bien au chaud sous l’édredon carmin en une auberge elfique.
Elle se calma avant de commencer à bouger. Tranquillement, elle parvint à s’extirper de sa prison. Elle frissonna à l’air libre frais.
L’automnale chevelue décida de se lever. Définitivement. La nuit n’était encore achevée, loin de là, et elle était encore fatiguée. Cependant, elle ne voulait prolonger son sommeil ainsi. Elle se dirigea rapidement vers ses habits et se vêtir avant de ressentir le froid mordant contre sa peau hérissée.
Puis, elle quitta la chambre sans oublier son sac mais négligeant de se recoiffer. Ses longs cheveux descendaient en une cascade impétueuse jusqu’au bas de son dos. Et, elle aussi descendit. Les marches menant à la salle exempte de vie exceptée celle de l’aubergiste. Elle commanda et paya une bolée de gruau qu’elle consomma rapidement avant de sortir.
La fraîcheur matinale l’agressa dès son premier pas extérieur. La rafraîchie resserra son emprise sur la cape l’emmitouflant. Luttant contre son désir de retourner au chaud, elle suivit les directives données par Haron pour le rejoindre.
L’aurore pointait le bout de ses rayons lumineux lorsque la petite atteignit la place du marché. A présent, il lui fallait retrouver le forgeron parmi toute cette profusion de forains. Avoir trouvé l’agora marchande fut le plus simple.
Le soleil darda le bout de ses rais éclairants que la marcheuse continuait sa recherche. La place n’était immense et pourtant, elle ne retrouvait le nain. Elle continua à déambuler sans plan défini, erratique, inefficace.
L’astre éclairant était pleinement visible lorsqu’elle repéra enfin le colosse. La soulagée se demanda comment elle avait fait pour le rater tant de fois étant passée devant à de multiples reprises.
La place, entretemps, s’était remplie de badauds. Aussi renonça-t-elle à signaler sa présence sachant pertinemment la vanité d’un tel acte. La satisfaite se contenta de marcher vers l’état du nain simplement, lentement, retrouvant son calme que la longue recherche avait émietté.
La détendue arriva à l’étal lorsqu’elle vit une personne empoigner une arme exposée. Par la lame. A main nue. Un liquide sombre goutte sur le sol le buvant avidement. L’instrument blessant le rejoint. L’étonnée ne sait que faire devant cette situation inattendue.
* Il faut désinfecter la plaie, aurait conseillé Kaito. * * Il faut cautériser la blessure, aurait préconisé Saega. * * Il faut soulager la douleur probablement intense, aurait proposé Franel. * * Va déjà voir cette personne, aurait ordonné Anhiya. * * La douleur n’est que l’illusion onirique d’un songe tranchant, aurait placidement rajouté Sylène. *
Hélianthe se rapprocha rapidement de la blessée. Elle ne remarqua que l’éclat doré de ses cheveux avant de fixer son attention sur la main coupée.
« Dites, ça va ? Oui, enfin, non, c’est évident que non, rajouta rapidement la naine en se rendant compte de l’idiotie de sa question. Mais, vous avez mal ? »
Au lieu de continuer à poser des questions sans intérêt, l’enfant s’empara d’un coin de sa cape. Elle considéra le tissu bleu avec regret avant d’en déchirer difficilement une bande. Ne sachant rien faire d’autre, elle se saisit de l’appendice sanglant et entreprit de l’envelopper pour stopper l’hémorragie. |
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HaronGrand maître forgeron nain ingénieur artificier
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| Sujet: Re: Un nain faillible forgeron (Hélianthe Sonnedottir - haron - Sa) Ven 6 Fév - 12:06 | |
| [hrp pour ce qui ne savent pas la diligence blinder et une diligence naine de guerre adapter au besoin du marchand elle s'ouvre donc a l’arriéré et sur l'un des flans etj'en profite aussi pour rappeler qu'elle est colosale ]
Le vieux nain toujours dans le gaz venait de finir l'ouverture de sa chariote. L'un des pan du véhicule servait de rampe pour l'intérieur Les deux râtelier d'arme sortie et la table mise a l'extérieur . La petite vitrine plaine d'ustensile divers en majorité des couteaux et de quelque broche ce partager la table avec quelque chef d’œuvre a tendance elfique. Les râtelier remplit d'armes en tout genre . Entre eux et la table des petite caisse plaine de fer a cheval ou d'outil de cuisine . Il y en avait une pleine de morceaux de métal divers et varier. Poser a coter d'un tronc d'arbre surplombé d'une petite enclume très bien usiner ;d'un chaise et d'un saut d'eau Accrocher sur le mur du véhicule des arme qui rivaliserait de beauté avec la hache du nain . Et en plein milieux de la charrette trois armure .
La première devait être pour un elfe de grande taille de sang royal au vu des blason . La couleur de l'armure fessait penser au jais .Elle semblait guerre résistent au vu de l' épaisseur quelle avait a peine plus épais que du tissu .
la seconde surement pour une humaine qui voulait ce pavanait et étaler son or
la dernière est celle d'un nain d'une couleur blanc argenter au reflet écarlate elle a l'aire d'avoir vu plusieurs champ de bataille mais reste inestimable . Elle arbore elle emblème d'un clan de noble nain Sur cette armure il manque les botte et le pantalon de plaque que l'on retrouve un peut plus loin sur les fesse du nain .Prés du tonneau a l'odeur remplis de bière.
Le forgeron qui préparait sa chopine du réveille ; de la bière avec un tiers d'hydromel et une goutte d'une bouteille ou flottai un scorpion énorme ;entendit un bruis juste après avoir ranger la bouteille .
Le tintement si lèger d'une lame chantante en Ithilnaur ;très priser des elfe ,ils appellent cette alliage le lune-feu . Car légère; résistante; au tranchant effilé don la couleur fait penser l'argent pure voir même a un miroir avec la particularité de "chanter" quand elle rencontre un caillou ou une autre lame.
Le vieux nain n'avait plus besoin de sa chopine pour sortir du brouillard matinal. Il s'étais retourné et armé de son marteaux de forgeron dans un même mouvement . Le nain allait frapper la jeune elfe quand il s'aperçut que se n'était qu'une enfant. Il lâcha donc le marteau qui reprit tout seul sa place en bas du dot du nain . Mais il mit tout de même une tape derrière la tète de l’enfant en regardent fugacement la blessure et en lui disent
"Sa t'apprendra a volet ..."
il s’arrêta nette en s’apercevant qu'il n'avait pas toucher la chevelure de l'enfant. Le forgeron réitéra son geste m'ais cela nu comme effet que de faire apparaître une plaque d'ombre entre sa main et la tète de l'enfant .
"po mal sa gamine "lançât -il a la voleuse
Le forgeron regarda la jeune naine panser la plait et dit
"c'est po trop grave mais par précaution fondrai désinfecter et cautériser"
tout en ramassent la lame qu'il pausât sur la petite enclume . Le forgeron lança un gand de forge a la naine .
"mais sa elle a pas l'aire de m'aimer " Puis alla ensuite récupérer le bouteille , ou nageait sans vit le scorpion, une timbale et une tige de fer
Il rempli la timbale du liquide ocre il la posa devant l'elfe et mi la bouteille devant la naine
"Hélianthe mais lui de sa sur la plais c'est de l'eau de vie. et toi voleuse tu regarde le poissonnier la bas et quand te le dirait tu boira sa cul sec"
Dit haron en montre une étal de poissonnier a l'autre bous du marcher . Le forgeron entrepris alors de chauffer la tige a blanc avec son souffle de flamme bleuâtre |
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