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 Petites notes de potions et sorcellerie de base


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Nancy'Whiskey

Nancy'Whiskey

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MessageSujet: Petites notes de potions et sorcellerie de base   Petites notes de potions et sorcellerie de base EmptyLun 13 Oct - 22:50

Salut les loubards!

Je suis la petite voix qui parle dans la tête de Nancy'Whiskey et il faut bien avouer qu'elle n'a plus toute sa tête. Mais malgré tout j'crois que c'est la seule sorcière du coin à l'heure actuelle qui accepte de dialoguer avec autre chose que des bêtes agricoles alors estimez-vous "chanceux".
Toujours est-il que l'pôv Nan' elle pourrait caner d'un an à l'autre alors elle a décidé de partager une petite partie de ses connaissances avec vous. Et si y a un ou deux mages qui veulent compléter.

Mais voilà la pauvre vieille qui revient, alors chuuuut, laissons là coucher son introduction par écrit et faire comme si de rien n'était. Elle versera ici tout ce dont elle voudra bien se souvenir et qu'elle jugera utile de filer. Mais attention! Elle n'a plus toute sa tête et si presque tout est juste, il se peut qu'elle oublie - à dessein! - un détail des préparations ou descriptions! Mais surtout, elle ne vous donnera jamais de choses très très puissantes, car ça mes chéris, c'est réservés aux initiés. Mais lisons-donc en silence:

De la philosophie des sorcières.

Ce qui est écrit ici n’est pas science exacte. Je n’ai connaissance que des sorcières de mes environs, vers la plaine Vent-Froid, jusqu’au-dessus des Causses. Mais des sorcières que je connais, voici ce que je peux dire.

Il serait bête de dire que les sorcières ne font pas de magie. Bien sûr qu’elles connaissent des sortilèges, encore qu’elles soient surtout versées dans les bénédictions et les malédictions. Elles connaissent des sorts simples, mais une sorcière, lorsqu’elle apprend la magie, apprend toujours en même temps que le secret avec la magie c’est de ne pas s’en servir. Une sorcière se bat d’abord avec des mots, ensuite avec des potions, mais pas avec des sortilèges, sauf en cas d’extrême nécessité et avec parcimonie. Comme elles connaissent le pouvoir réel des mots, elles ne les utilisent pas. Elles laissent ceci aux mages, qui aiment allégrement foutre la pagaille dans le tissu de la réalité. Pour autant elles les respectent, car leurs disciplines respectives s’autoalimentent.

Les sorcières sont des canalisatrices, des utilisatrices. Elles ne sont pas des conceptrices, ne créent pas, sauf cas exceptionnels. La création, que le commun des mortels associe à la grande magie, est l’apanage des mages. Les mots de pouvoir, les passements de bras, tout cela les sorcières ne le maîtrise pas vraiment. Enfin si elle le maîtrise, mais elle ne s’y intéresse que peu. C’est pourquoi les sorcières ne jette jamais de boules de feu sur les gens sauf cas exceptionnels, car cela relève plus des mages. Elles ne créent pas le feu. En revanche, elles manipulent l’existant. Les sorcières sont des magiciennes de terre, d’eau, de vent. Si le feu existe déjà, alors certaines parmi les plus habiles peuvent le manipuler à leur guise, mais la plupart ne peuvent lui conférer une intensité plus forte que sa puissance originelle. En revanche, elles peuvent faire « chanter le vent en tourbillon», faire trembler la terre voire, pour certains grands noms qui resteront pour toujours dans les annales tels Massetourte Idoine, invoquer des orages ou des rafales de grêles à volonté. De nombreuses sorcières peuvent ainsi choisir globalement où la foudre tombera si elles se trouvent sous un orage, ou transformer une petite pluie en un déluge d’eau momentané. Il suffit pour cela de comprendre, de chercher dans le tissu de la réalité environnante et de pousser ici et les petits leviers qui feront tomber le gros caillou. En fait c’est pratiquement à la portée du premier venu, mais personne n’en a conscience. Pourquoi ? Parce qu’il est bien plus facile de vivre une vie tranquille ou de jeter des formules magiques que d’apprendre à comprendre le monde. Une sorcière passe des années dans sa cahutte à s’occuper de son petit bétail, de ses ruches et de son potager. Tout y a une symbolique : le groupe a une seule conscience, le caprin au dur labeur, la patience récompensée… les sorcières sont chargées de symboles. Et un peu folles aussi, il convient de le signaler. Seul compte l’apprentissage.

Ce n’est que par l’apprentissage acharné qu’on devient sorcière. Qu’on soit puissant, nanti ou paysan, tous sont égaux face au travail. Ce n’est qu’en apprenant à mettre bas une chèvre, qu’en allant chercher un veau dans le blizzard qu’on comprend la force de la vie. Qu’en faisant pousser une fleur décennale qu’on comprend la patience. Mais il est un ou deux domaines que je puis vous apprendre sans trop de problèmes. Car s’il est aussi une chose dans lesquels les sorcières sont fortes, c’est bien ce qu’elles appellent les préparations transformomagiques. Ce que vous appelez communément les potions, mais qui comprends aussi les tisanes, les pommades, les onguents, et toutes ces transformations d’un produit en un autre.

Je vous listerai donc au compte-goutte des recettes de base qui vous permettront de confectionner vos remèdes du quotidien, de la simple tisane de sommeil à la potion de vivacité d’arconit. Mais jamais vous n’aurez les plus puissantes décoctions, car celles-ci demandent un savoir-faire certain et la manipulation par des néophytes se révèlerait très dangereuses. Vous trouverez aussi dans cet ouvrage des anecdotes pour comprendre des points de nos vies : comment fonctionnent les baguettes, les bourdons, que sont réellement les sorcières noires, d’où viennent les pouvoirs de voyances ou de prescience comme les appelle ceux qui pètent plus haut que leurs derrières, car y a rien (ou presque) de savant à déduire l’avenir d’une situation…

Si des consœurs lisent ces lignes, je vous demanderai de ne pas juger cet ouvrage de vulgarisation simple. D’abord car je ne suis pas la première, mais surtout car je sais que vous toutes partagez un seul but : protéger la vie, comprendre la mort, adoucir le trépas, célébrer le vivant. Et par ces remèdes que j’entends transmettre au commun, j’entends permettre l’élargissement de ce crédo. Vous ne trouverez pas de poisons ici. Non pas que nous n’en fabriquions pas à l’occasion, mais ils ne vous seront pas divulgués. Pour ça, il existe quelques ouvrages que je pourrais vous indiquer mais que les sorcières ne se passent qu’entre adeptes, ou éventuellement qu’elles prêtent aux guérisseurs et guérisseuses ou aux gens qu’elles en estiment digne.


à suivre...
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Nancy'Whiskey

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MessageSujet: Re: Petites notes de potions et sorcellerie de base   Petites notes de potions et sorcellerie de base EmptyMar 21 Oct - 13:08

Les baguettes, les bâtons, les bourdons.


Voilà un argument qui plaira aux messieurs: parfois, la taille compte. C’est notamment le cas avec les canalisateurs de magie que sont les baguettes, les bâtons de sorciers et les bourdons, dans cet ordre.

Leur composition compte aussi, autant que la qualité des matériaux. Il faut trouver un étalon pour comparer la puissance des matériaux et voir l’outil lui-même comme un multiplicateur de puissance. Nous prendrons l’étalon basique, à savoir le rameau de frêne ou de roseau qui peut emmagasiner et canaliser l’équivalent de deux unités magiques (qu’on appelle différemment selon les régions mais que les sorcières de par chez moi nomme le « schwa »), une unité étant la quantité de magie standard nécessaire pour se faire pousser une fine moustache ou pour allumer une bille de lumière de la taille d’un pouce pendant quatre secondes.

En réalité, les baguettes et autres outils du quotidien des pratiquants de la magie ne sont pas des créateurs de magie. Ils la distillent, ils la collectent, ils la canalisent et la transmettent. Voyez cela comme une extension du magicien, et parfois même comme une arme de projection.  La magie se trouve partout dans la nature, elle s’accumule contre les parois, dans l’air, suivant les lignes telluriques et les artères de la terre, ou encore palpitant dans les battements de cœur du monde, rentrant et sortant dans tous les êtres vivants, et rebondissant contre les murs comme tout un tas de particules rendues soûles par la vitesse. Les pratiquants de la magie savent récupérer une partie de cette magie qui transite par eux, et la transmettre à leur bâton ou autre, qui leur sert ensuite de réserve, voire de canalisateur qu’ils peuvent alors user en le pointant sur ce qu’il désire transformer.

Les baguettes,
l’instrument le plus courant, ne demande pas nécessairement une grande pratique pour être bien utilisée, surtout lorsqu’elles sont en matériaux de base peu puissant. Elles constituent un bon outil d’entraînement ou un premier instrument convenable et même certains non pratiquants de magie en porte comme outil à tout faire. On les trouve généralement en bois de différents types, et elles peuvent (mais rarement) être composites. Elles ne mesurent jamais plus de 90 centimètres (faute de quoi elles « craquent »  et représentent de véritables bombes à retardement) et excèdent rarement la moitié de cette taille. Elles sont composées d’entre 3 et 8 rameaux liés ou assemblés les uns aux autres. S’il existe des exemples rares de baguettes en pierre, lesdits exemples ne sont que des œuvres de collection, car la pierre seule, en dehors des éclats minéraux, n’a jamais été vivante et ne canalise donc que très peu les effluves magiques. Aucun exemple de baguette en métal  viable n’a jamais été répertorié, même si de nombreux artisans s’y sont essayés ; presque tous ont péri de façon rapide et atroce lors de l’essayage du produit fini. La baguette ne fonctionne généralement que par contact direct, elle n’est qu’un accumulateur, même si les plus grosses peuvent projeter des sorts mineurs à une distance réduite (généralement à moins d’un tiers-arpent, ce qui correspond souvent à peu près la taille d’une grosse salle de taverne)
Effet : multiplicateur x1 pour la plupart, jusqu’à x1.2 pour les plus grosses.

Le bâton de sorcellerie est généralement plus dur à manier, mais il est également plus puissant que la baguette car plus gros et comporte donc davantage de rameaux (entre 9 et 21 ). Il est traditionnellement connu pour être l’emblème des sorciers et sorcières, qui en reçoive, en font confectionner ou en confectionne un lors de leur passage du statut d’apprenti(e) à réel pratiquant à part entière. La communauté reconnaît alors leur talent et leur charge par leur bâton. Les pratiquants s’en servent parfois de canne pour marcher, ce qui explique les styles disparates et particuliers des bâtons de sorcellerie, allant de la tête de mort criarde au vieux bâton miteux. Il peut comporter des inscriptions, des pierres, ou des rameaux de métal, mais n’est jamais composé entièrement dans ces matériaux; il est donc généralement composite ou dans une seule essence de bois rare. Seul un exemplaire existait de bâton de métal, utilisé par un puissant sorcier noir, mais il fut perdu durant les bouleversements de l’âge troisième (on ne sait pas avec certitude s’il disparut dans la guerre avec les démons ou dans les bouleversements qui amenèrent la migration des hommes). Un bâton mesure généralement entre 1m20 et jusqu’à 1m80 pour les plus grands ; ils sont de diamètre moyen et ne contiennent pas d’essences magiques dans le cœur de bâton. La plupart des bâtons peuvent projeter les sortilèges à une distance moyenne (un arpent maximum soit environ 58m)
Effet : multiplicateur de x2 à x4 suivant le diamètre et la taille. Généralement x2 à x2.5 pour les bâtons récents.

Le bourdon est l’apanage du mage. Très peu de gens savent aujourd’hui participer à la fabrication d’un bourdon et encore plus rares sont ceux capables d’en fabriquer un en entier, on les compte généralement une demi-douzaine au maximum. Ils n’ont de plus le droit d’en fabriquer que sur ordre express d’un mage accrédité ou sur commande de l’université, même si certains cas de corruption ont pu être rapportés par le passé (cas qui se sont tous soldés par une mise à mort de l’artisan sans procès, à titre préventif). Les bourdons sont généralement en bois mais peuvent contenir de nombreuses inscriptions, incrustations de pierres voire un diamant entier au bout du nœud de tête. Ils peuvent aussi être de tous les matériaux possibles, et composites ou « pur ». Ils comportent jusqu'à 38 rameaux. A la différence des bâtons et des baguettes qui cherchent souvent une composition variées qui amoindrit les effets d’accumulation mais rend l’outil plus résistant aux dommages et aux chocs, les mages privilégient souvent le bourdon pur, qui emmagasine plus de magie mais peut comporter des faiblesses (un bourdon de métal pur par exemple peut transmettre un choc électrique à son porteur car il n’y a pas de bois pour absorber même en partie la décharge). Les bourdons mesurent entre 1,50 m et 2,30m (même si on connaît de vieux bourdons tutoyant les 2,50m). Plus ils sont grands plus ils sont puissant, mais surtout plus les mages se sentent puissants, et du coup on a souvent des mages exhibant fièrement ce qu’ils considèrent comme la preuve de leur virilité, même si ce n’est là que de la frime. Le bourdon peut contenir de l'élixir, une pierre runique, une essence magique dans son cœur. Le bourdon du mage a un nœud de queue et un nœud de tête. Le nœud de queue peut être planté dans le sol pour accélérer la distillation de magie mais rend son porteur immobile donc vulnérable le temps de la charge, le nœud de tête peut projeter le sortilège à une distance conséquente (parfois jusqu’à 75m, soit presque aussi loin qu’un tir droit d’arc long).
Effets : multiplicateur de x2 à x6.

Néanmoins il convient de dire que la plupart des sortilèges ont une trajectoire en cône et peuvent donc se perdre dans la nature ou en tous les cas perdre rapidement une bonne partie de leur puissance avec la distance. Un sortilège  de projection comprend deux caractéristiques : son agglomérat et sa dispersion.

- son agglomérat: plus un sortilège est aggloméré, plus il est concentré, et il perd moins en puissance avec la distance. En revanche le sortilège perd énormément de précision et toucher une cible devient rapidement une question de chance. Privilégier les cibles rapprochées ou imposantes. Ex type : la boule de feu concentrée.
- Sa diffusion : plus un sortilège est diffus, plus il a tendance à se répandre avec la distance, selon une dispersion conique ou sous forme de vagues autour du lieu de création.  Il a plus de chance de toucher des cibles petites ou mouvantes ou à distance, mais perd très vite en efficacité avec la distance. Exemple type : la chaîne d’éclairs, le nuage de soufre.

Il va sans dire que ce sont surtout les mages qui utilisent ce genre de pouvoirs offensifs. Les sorciers, les enchanteurs et autres utilisent plus des sorts de contacts, de proximité ou encore sur eux-mêmes, par exemple pour augmenter leurs réflexes ou se protéger.

Sous peu, nous verrons les différents matériaux communs qui peuvent composer un outil de canalisation magique (liste non-exhaustive). Et nous prendrons connaissance de la potion de distorsion et de celle de fortifiant capillaire.
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Nancy'Whiskey

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MessageSujet: Re: Petites notes de potions et sorcellerie de base   Petites notes de potions et sorcellerie de base EmptyLun 10 Nov - 10:53

La solution de fortifiant capillaire.

Utilisation:
On l’utilise surtout sur les animaux, encore qu’elles permettent d’avoir un poil long et soyeux et que donc tout un tas de fifilles qui n’ont pas grand-chose à foutre se lavent les cheveux avec une à deux fois par semaine. Si elles en mettent trop elles ressemblent à des ours et ça devient rigolo. Mais on a aussi le cas de certains hommes imberbes ou peu poilus qui cherchent à devenir plus virils.
Voilà ce qu’il vous faut :
Ingrédients:
Deux ballons c’est le mieux, ou bien un ballon et une casserole.
Un mortier.
Un extrait de cactus blanc frais (on en trouve sur les lointains abords des montagnes enneigées, dans les prairies fleuries au début ou en fin d’hiver en petite quantité, dans la forêt elfique, les montagnes des dragons, et les plaines méridionales. On en trouverait sur le territoire démoniaque.), à hauteur d'un douzième de livre pour six doses.
Une source de chaleur constante.
Du lait consommable (environ un demi-litre pour douze doses).
Des tulipes jaunes (une fleur pour six doses).
Des crins de chevaux (trois bonnes poignées pour douze doses).
De la graisse animale (environ une demi-livre pour six doses).
Un peu d’alcool, pour le goût.
Du bleu de méthylène ou de la térébenthine.
De l'eau.

Préparation: Écrasez les tulipes jaunes sur une pierre et récupérez le pistil. Lavez la pierre ou le récipient, puis écrasez le cactus blanc. Retirez précautionneusement les épines, mais gardez-en (à part !) l’équivalent d’une épine par fiole de 15ml. Mettez les deux résidus que vous avez récupérés ensemble dans un ballon, ajoutez une louche d’alcool et de l’eau et mettez à chauffer pendant deux heures. Puis sortez du feu, couvrez, et laissez dans un endroit chaud et sec.
Pendant ce temps, faites bouillir le lait dans un second ballon ou bien dans une casserole, mais alors en écrémant la croûte qui peut se former à la surface au fur et à mesure de son apparition. Versez le tout dans un bol ou un récipient et trempez-y les crins de chevaux jusqu’à ce que ceux-ci dégorgent de lait. Sortez-les et laissez-les sous la lune pendant une nuit. Pendant ce temps, ajoutez deux bonnes cuillères à soupe de bleu de méthylène au lait que vous laissez reposer pendant la nuit aussi. Trempez à nouveaux les crins jusqu’à ce qu’ils prennent une teinte bleutée légèrement bleu roi.
Récupérez votre premier ballon et mettez-le à chauffer à nouveau. N’hésitez pas à rajouter une cuillère à soupe d’eau et une bonne dose d’alcool, si vous aimez ça. Dès l’apparition des premières bulles, rajoutez les crins de chevaux et versez la moitié du lait bleuté. Ajoutez la graisse animale et mélangez au fur et à mesure. Ensuite, laissez chauffer jusqu’à n’obtenir qu’une sorte de mélasse blanche-bleue. Retirez et laisser tiédir. Une fois tiède, diluez quelque peu avec de l'eau jusqu'à obtenir la consistance du miel liquide et mettez en fiole de 15ml. Glissez une épine dans chaque fiole, ça fait plus joli, et ça permet de les identifier facilement. De plus celle-ci deviendra légèrement luminescente dans l'obscurité, ça fait magique et vous en tirerez un meilleur prix. Pas folle la vieille.

Application: une fiole comprend une application. Une application par quinzaine suffit généralement. Appliquez directement sur l’endroit visé, ou bien dilué dans l’eau pour les cheveux ou un effet moindre sur les personnes humaines.


La prochaine fois nous verrons la potion de distorsion et les remèdes à l’antimoine qui constitue aussi un poison fort violent, il faudra donc prendre ses précautions.
Si vous aviez des suggestions sur des sujets précis, faites-m'en part par pigeon voyageur.
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