Je me rendais d'un village elfique à un autre. Dans la forêt il n'y a pas de routes tracées, ce qui n’empêche pas les elfes de voyageur sans jamais se perdre. Je marchais comme un prince au milieu des fougères et des arbres et j'étais en charmante compagnie. Je faisais le voyage accompagné de 2 belles fées, qui elle aussi devait se rendre là-bas. Elles pour y acheter des vêtements, moi pour chercher l'aventure. Je leur racontais mes aventures, enjolivant les faits et me donnant un rôle important. Je leur expliquais avoir évité un incident diplomatique, alors que j'avais seulement transporté un message des forgerons nains émigrés chez les humains.
Elles étaient très attentives, visiblement mon histoire leur plaisait, j'en profitais pour faire quelques blagues.
Bref, on passait un bon moment dans la forêt.
A un moment notre route fut coupé par un ruisseau en cru. il s'étalait sur une dizaine de mètres de large pour environ 30 cm de profondeur. Franchir cet obstacle ne fut pas un soucis pour mes 2 nouvelles amies qui volèrent gracieusement de l'autre côté faisant battre leurs magnifiques ailes de papillons. Quant à moi je dû grimper et passer d'arbre en arbre afin de ne pas tâcher mes beaux vêtements. Je pris tout mon temps et fit très attention à ne pas déchirer mes affaires. Mon agilité d'elfe me permettant d'éviter de coincer les rubans de mes vêtements entre les branches des arbres. Il ne me fallut pas plus de 5 minutes pour traverser le ruisseau, j'avais traversé 4 arbres. Pendant la traversé, j'avais continué à discuter avec les fées. Mais, alors que j'étais à mi-parcourt, elle s'était tues, ou plutôt, elles s'étaient mise à chuchoter. Avaient-elle vu quelque chose ?
De là où j'étais, j'entendais à peine qu'elles chuchotaient, je ne savait pas de quoi elles parlaient. Je fit le reste du trajet en silence, et en me dépêchant. Je descendit du 4ème arbre avant de les rejoindre.

- Qu'avez-vous vu mesdemoiselles ?

Je tentais de réchauffer l'ambiance en changeant de sujet, j'avais à peine recommencé à parler de mes aventures quand les fées firent encore des révélations énigmatiques, ... énigmatiques et inquiétantes. Je n'étais pas rassuré mais je ne laisser rien voir, je fis mon plus grand sourire et leur proposais de me parler de leur histoire. Elles étaient timides, je les encourageais à me parler en agrémentant mes questions de compliments.

J'écoutais le plus attentivement possible mais mon esprit étais préoccupé par cet elfe ainsi que par les révélations des 2 fées. Ce type avait-il vraiment disparut ? Je me retenais de tourner la tête pour le chercher.

Nous avançâmes dans la forêt et petit à petit la peur disparue des esprits. Elles me racontaient qu'elles étaient nées dans la région et qu'elles avaient monté ensemble un magasin de vêtements. Tout allez pour le mieux quand soudain ...


[hors rp : je te laisse choisir si tu veux nous parler, qu'on te vois de nouveau, ou qu'un événement extérieur arrive, ou autre chose :)]

J'me suis fait giflé. J'y crois pas, quelle vielle pie celle-là ! Je me frottais la joue et marmonnais en réponse :
- Je voulais juste être agréable, rien de plus madame.

Pour quelqu'un qui n'aime pas se faire draguer, la fée se comportais étrangement avec l'étrange elfe. Elle s'asseyait sur ces genoux, le laisser la prendre par la taille, ... Elle présentait ce type comme un client et se comportait avec lui comme s'il s'agissait d'un prétendant. En plus, ce type là avait visiblement le même age que moi. Quelle espèce de fée aigrie prétend ne pas vouloir se faire draguer en fricotant avec quelqu'un de mon age devant-moi ? En plus de ça, je n'essayais même pas de la draguer. Bref, cette fée en avait visiblement après moi et je sentais que je commençais à la détester cordialement.

...
L'étrange elfe avait toujours les yeux fermé quand il commença à parler, visiblement c'était un intime de la fée aigrie. De quelles rumeurs parlait-il ? Je n'avais jamais entendu parler d'un elfe dormeur terrorisant la forêt. Si j'avais dû avoir peur, à la place de Amora et d'Afoiwen, c'est de la troisième fée que j'aurai eu peur.
Moi affreux ? ... En fait il forme un couple très assorti ces 2 malpolis. Je me repris, fit un sourire (beaucoup moins prononcé que le précédant celui-ci), me tourna vers le type et me présenta :
- Je me prénomme  Saël Dalitavor Gal'Elveré et je viens de la région Nord de la forêt. Enchanté de vous rencontrer. J'espère que je n'ai pas trop perturbé votre sieste. Je dois vous dire que je n'avais jamais rencontrer quelqu'un avec un sommeil comme le votre : continuer à dormir en sautant d'un arbre et en se déplaçant, c'est impressionnant.

Les 2 fées grondées par leur arrière-grand-mère s'étaient rapprochées, Elle allez sans doute rentrer dans le village se dépêcher d'acheter les tissus avant de se faire gronder de nouveau. Alors qu'elles passaient près de moi je me retournais pour leur faire une révérence et leur souhaité au revoir bonne journée.

L'étrange elfe daignait enfin m'adresser la parole, vu le temps qu'il avait attendu pour cela, il devait être vraiment arrogant. ... Finalement j'aurai préféré qu'il continu de se taire. Ce type m'avais foutu la frousse. Alors qu'il me parlait tout bas, un frisson me parcourut le dos, c'était très désagréable. Si ma peau n'était pas déjà aussi blanche, j'aurai surement blêmis face à ces révélations. Je me trouvais à à peine 20cm d'un vampire, ce qui me laissait la très mauvaise impression d'être le plat du jour. Ce sentiment se mélangeait en moi avec de incompréhension : comment un vampire pouvait-il autant ressembler à un elfe ?
Je réprimais une boule dans ma gorge quand le roi de la nuit (qui avait plus la stature d'un sorcier puissant planqué, comme pour échappé à quelqu'un, que la stature d'un roi) se reculait pour se présentait une seconde fois. Je compris qu'il y avait la version "officielle" et la vrai version de ce qu'il était. Et je me demandais si les fées, qui avaient eu peur du type, savaient ce qu'il était vraiment. En tout cas, moi, je savais et j'étais terrifié. Je faisais de mon mieux pour me contenir et je crois que c'était pas trop mal réussi à part que mon sourire était maintenant forcé. Afin d'éviter de me pisser dessus (ce qui aurait été vraiment honteux pour quelqu'un comme moi qui se revendique de la noblesse), je me forçais à penser à autre chose :
Ce type avait été roi dragon et était maintenant roi vampire. C'était une personne que je me devais d'avoir dans mes connaissances si je voulais un jour retrouver mon rang. Ce type, malgré sa dangerosité et son côté terrifiant, devait figurer parmi mes "amis". Ce serait pour moi un atout majeur, je ne pouvais pas l'ignorer. Un grand atout, mais un atout à double tranchant, je devais faire plus de d'habitude attention à mes paroles. C'était le moment de saisir ma chance.

- Je vous prit de m’excuser, je ne m'attendais pas à rencontrer quelqu'un d'aussi important que vous au détour d'un chemin. (J'évitais de dire que c'était le roi vampire, puisqu'il ne l'avait pas dit à vois haute.) Une personne de votre rang ne devez-t-elle pas se trouver à la cours de la Reine, entourée de hautes personnalités ?  Quoi qu'il en soit, je suis honoré de vous rencontrer, et honoré d'être "sous votre protection".  Me permettriez-vous de vous demander qu'est-ce qui vous attire dans ce coin de forêt ?

Je me demandais ce que le vampire allait répondre, mais aussi comment l'autre fée allait réagir. En fait, je ne m'étais pas comporté plus gentiment avec la fée qu'avec le vampire. Allait-elle en conclure que je le draguais aussi ? Non, elle allait sans doute penser que je faisais le lèche-bottes. Et elle n'aurait pas tord. C'était de la diplomatie, rien de plus. Si javais dis et fais ce que je pensais, je me serais plutôt enfuit en courant à l'autre bout de la terre.

[hors rp : purée à quel point tu te fout de la gueule de mon perso, c'est épique !! J'ai eut une crise de fou-rire. trop fort !! ]

Le contact physique avec le vampire me tendit. Je n'aimais pas du tout ça. Que n'importe qui décide de me toucher comme ça, c'était incongru. De quelqu'un de son rang, qui connaisse le protocole, c'était impensable. Venant de la part d'un vampire, c'était insupportable.
Et terrorisant, J'imaginais déjà (et de manière bien trop réaliste) ses crocs se plantant dans mon cou. J'étais glacé, il ne fallut un temps avant de pouvoir réagir, un temps pendant lequel le roi vampire me parlais.

Visiblement, il aimait jouer avec mes nerfs. ça me rappelait ces chats qui jouent avec les souris qu'ils attrapent avant de les manger, et j'avais la désagréable impression d'être la souris. Je refusais de me laisser faire et cela commençait par ne pas lui montrer que j'avais peur. Je me forçais à me détendre et à respirer paisiblement. Je concentrais tout mon stress dans ma main gauche, que je serrais le plus fort possible. Dans la situation actuelle, personne ne pouvait voir cette main, et donc personne ne pouvait voir mon stress. Une fois cela fait, je passais à la seconde étape : reprendre le contrôle des événements.
Le vampire avait fini de parler, j'en profitais pour me libérer de son massage, et me mettre face à lui, mettant ainsi une distance d'1m30 entre nous, ce n'était pas grand chose mais c'était toujours ça.

- Je ne comprend pas ce que vous reprochez aux mondanités, c'est toujours l'occasion de voir des gens intéressants et qui ont un certain goût pour les choses dan un décor somptueux qui ravie les yeux et le cœur. Ce ...

Parler de ça me rendais nostalgique. Cela fait des années que je n'avais pas participer à une soirée de ce genre. Qu'est-ce que je n'aurais pas donné pour y retourner ?
La proposition de Fleaux était tentante. Il m'ouvrait une porte fermée depuis longtemps. Je senti l'ivresse des grandeurs me faire tourner la tête. Puis une vision me traversa l'esprit : dans cette vision j'étais le conseillé, l'ombre, du vampire, lors d'une soirée d'envergure dans la capitale elfique. Dans la foule, je croisais le regard de ma mère. Après un temps de surprise, elle adopta un air réprobateur, en un seul regard, elle me disais : " As-tu sacrifié ton âme pour ce peu de gloire ?".
L'ivresse dans ma tête disparu d'un coup, j'interrompais la phrase que j'allais prononcer :

- La proposition est tentante mais je n'ai personne à vous proposer qui puisse correspondre à ce poste. Je suis désolé que mon carnet d'adresses soit aussi petit. Peut-être pourrais-je vous aider d'une autre manière. Mais, pourquoi ne pas en discuter ailleurs ? Allons à l'auberge ? A moins que vous ayez quelque chose à faire. Nous y serions plus à l'aise qu'au milieu du chemin.

J'entamais un mouvement, invitant le roi à avancer vers le village. Le village du coton était tout petit et l'auberge bien triste, mais c'était la seule.
J'attendais de voir s'il me suivait avant de lui demander ce qu'il l'attirait tant dans la forêt elfique.

Si j'avais pu avoir plus peur que je n'avais eut juste avant, j'aurais sans doute eut peur en voyant la véritable apparence du vampire. Je n'avais jamais vu personne qui ressemblant à ça. Ce type avait DEUX paires d'ailes. Il était terrifiant, je comprenais pourquoi Amora et Afoiwen avait peur de lui. Moi, au point où j'en étais, je n'avais plus peur, ou plutôt, j'avais tout le temps peur, je n'étais plus choqué. Par contre, je me demandais s'il on allait pouvoir rentrer dans l'auberge ou se faire jeter dehors.
Je ne savais plus vraiment où me mettre, s'il l'on me voyais avec un personnage si effrayant, je risquais d'être catalogué comme personne dangereuse ou étrange. Nous rentrions dans le village qui était plutôt calme. ça n'y coupa pas, les gens qui passaient n'avait pas l'air tranquille. A leur regard, je voyais bien qu'il se demandait ce que je faisait si près de ce "monstre". J'osais quand même parler au vampire et je lui demandais :
- Puis-je vous demander ce qui vous plait tant dans la forêt elfique ?

Je me demandais bien pourquoi il avait choisi cet endroit précis pour faire réparer ses vêtements, n'aurait-il pas était mieux de choisir un endroit plus discret ? Je n'osais lui poser la question. Je n'osais pas non plus lui demander non plus depuis combien de temps il avait cette robe et quel age il avait. Pétard, ce type avait l'air d'avoir le même age que moi, et pourtant, combien d'années de plus avait-il ? Quelques années ? Des décennies ? Plusieurs siècles ? C'était assez déconcertant.
Nous arrivions devant l'auberge. Elle avait un nom étrange : "Au voile tombé".
- Je me demande d'où viens un nom pareil.

Je fit un signe pour laisser passé le roi :
- Après vous.

Je le laisser entré, je m'attendais presque à un cri du tenancier.

Un voile luminique, j'en avais déjà entendus parler, mais je n'en avais jamais vu. Je ne m'attendais pas à ce que cela produise autant de lumière. J'allais de surprise en surprise. Bientôt le roi vampire lança un sort magique en plein milieu du village, je me demandais comment pouvait-il oser faire ça devant tout le monde, alors qu'il se cachait encore il y a quelques minutes ?
Hé ben ! Si je m’attendais à ça ?!  Les fées n'avaient pas rigolé quand elle avaient parler de puissante magie. Les plantes poussaient à vu d’œil. A mes pieds, une graine qui trainait sur le sol devint en quelques secondes un coquelicot que je ramassais.

...

Nous rentrons donc dans l'auberge. La salle commune était quasiment vide. Il n'y avait que l'aubergiste, et un autre type qui discutais avec lui. C'était certainement un pilier de bar, il avait un verre d'eau de vie à la main. Je saluais les deux elfes qui s''étaient arrêter de discuter quelques secondes pour nous regarder. Nous nous installions à une table. Je commandais une "eau de narcisse".

- Si je ne peux pas vous aider pour trouver un conseiller, je peux peut-être vous aider pour autre chose. Je suis un messager des plus efficaces, et je connais un certains nombres de gens. Puisque vous semblez aimer la tranquillité, je peux aller en ville à votre place par exemple. Enfin, tant que la mission ne consiste pas à rencontrer ou interagir avec les plus hautes sphères dans un cadre publique. (je marquais une pause) Enfin, vous n'avez probablement pas besoin de moi, tout du moins pour l'instant, vous devrez avoir tout les gens dont vous avez besoin, vu votre rang.

Je n'ai jamais étais éduqué pour poser trop de question, c'était de l'irrespect, surtout envers un roi. Mais une question sorti de mes lèvres sans que je m'en rendes comptes :
- Vous savez lire dans les pensées ?

La question du vampire était surprenante, il ne savait même pas de quel rang j'étais et ne m'avait posé aucun question à ce sujet. De plus, en me voyant il aurait du penser que j'étais déjà d'un haut rang. Je n'avais rien dis qui sous-entendait que je n'avait plus de rang.
- Qu'est-ce que mon rang peut bien faire ? Et que pensez-vous pouvoir faire pour améliorer ma condition ?

- Non, je ne suis pas n'importe qui, je suis le plus rapide, le plus fiable, le plus discret, je peux me faire ouvrir toute les portes, délivrer un message secret dans un lieu sensible ne me pose aucune difficulté. Et puis, si je vous parle de ça, c'est que je ne préfère pas me lancer directement dans une collaboration étroite avec vous. Commençons plutôt par voir si tout ce passe bien.

J'avais vraiment dis ça à voix haute ? Je venais de sous entendre un peu trop fort que le roi n'étais pas fréquentable, mais qu'est-ce qu'il me prend ? Je ne suis pas dans mon état normal. D'où est-ce que ça viens ? Est-ce que rester trop longtemps près d'un vampire fait ce genre d'effet ? Je devais faire plus attention à ce que je disais. ... Un peu plus et je lui aurait dis que je ne voulais pas m'afficher en compagnie d'un vampire. C'était pas bon, pas bon du tout.
Les mots suivants du vampire me laissez perplexe. Il parlait comme s'il savait ce que je voulait et me le proposait sur un plateau d'argent. C'était trop beau pour être vrai. Il me connaissait depuis moins d'un quart d'heure et me proposait un poste très important. Était-ce un piège ? Mon esprit ce refusait à cette éventualité. Pour autant il y avait forcément quelque chose qui clochait. Deux choses plus exactement : Qu'était devenu le précédent conseiller ? Et Qu'avait-il réellement en tête me concernant ?

- Pourrais-je savoir pourquoi cette place de conseiller si prestigieuse est-elle vacante malgré le fait que vous la proposiez au premier venu ?

L'aubergiste nous apporta à boire lui-même. Vu le peu de client à cette heure de la journée, il avait certainement libéré sa serveuse. Je pris mon verre à la main, mais hésitais à le boire. Tantôt je montais le verre vers ma bouche, tantôt je le descendais vers la table.
- Excusez ma franchise, mais j'aimerai vous posez une question si vous me le permettrez (je retenais mon souffle, je temps de vous un signe d'acquiescement sur son visage) : combien d'année cela fait-il depuis que vous avez perdu votre statut d'elfe ? Si je puis m’exprimer ainsi.

[hors rp : mais c'est toi qui m'a dit de ne pas rester muet et de poser des questions, pourquoi tu m’engueules ? XP]
[en plus, si je fais juste que répondre à ta question, mon post va être vachement court, il faut bien que je dises plusieurs choses]

Je ne savais pas trop comment prendre les rires du vampire. Devais-je rire ou pleurer ? J'hésitais. Sa réponse ne me rassurais pas, au contraire. Pouvait-il vraiment s'inviter dans on esprit sans entendre mes pensées ? Et entendre une voix qui n'est pas la sienne dans son esprit, cela doit être très perturbant, pour ne pas dire effrayant. Purée, je ne savait même pas que ce genre de chose était possible. ça faisait froid dans le dos.

Le roi avait accepté la proposition. J'allais maintenant être messager du roi. Je ne m'attendais pas à des négociations aussi rapide. C'était très étrange. Voir, même mauvais signe. Soit ce type avait une idée derrière la tête, soit il détestait négocier. Je n'avais jamais rencontrer quelqu'un de si étrange. Est-ce que tout les vampires étaient comme ça ? Ou ce n'était que lui. Je venais juste de le rencontrer et il me semblait déjà tellement étrange et différent. Sans compté cette désagréable impression que j'avais à chacun de ces réactions, il ne réagissait comme personne, comment savoir ce qu'il avait en tête.

- Que vous vous occupiez du bien être de votre peuple quoi de plus normal. Vous occupez du bien être des autres peuples, même celui auquel vous apparteniez cela me surprend. Que dirais la reine, si elle savait que vous empiéter sur ces prérogatives ?
Je dis cela sur le ton de l'humour, histoire de ne pas fâché en y accordant peu d'importance. En fait, ce n'est pas tellement ce que pourrait en dire la reine qui m'inquiétais, mais le fait qu'un vampire s'occupe avec autant de soin des elfes et des fées. Je trouvais ça effrayant, encore une fois.
- Vous n'avez pas que des rangs honorifiques à offrir, j'espère ?
Un rang honorifique, c'est bien, mais ça ne nourrit personne. Un rang, c'est bien, mais s'il est honorifique, il est sans terre, et sans terre on ne peut pas subvenir à ses besoins. Et dire qu'avant je travaillais pour le bien de la forêt, ... me voici maintenant obligé de travailler pour manger.

-Cette place est vacante car j'assure seul mes devoir de roi en règle général,
est-que cette réponse vous convient-elle ?
- Il y a-t-il une occasion spéciale qui vous pousse à trouver un conseiller actuellement ?

... Pouvait-il vraiment être aussi vieux ? des millénaires ? j'avais le tournis, j'arrivais même pas à imaginer ce que ce nombre représentait. C'était ... Je ... voilà que j'avais le tournis, je bus mon verre d'un coup.